Pierre et Jean, l'un des premiers classiques que j'ai lus, m'avait accompagné durant plusieurs soirées de printemps et m'avait donné hâte d'être en été, de profiter de la mer et de la pêche matinale, de se promener sur la côte normande.
L'impression qu'il m'en reste est un récit doux-amer, tout en lenteur et dans l'attente. Un récit poétique qui donne une très belle image des côtes normandes, de ces matins agités par les bateaux de pêches…
J'en garde un bon souvenir d'enfance, que je n'ai pas encore envie d'entacher par une seconde lecture.
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