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Critique de Allantvers
Comment continuer quand on fait le constat lucide que tout se délite en soi et autour de soi? Continuer à sombrer ou continuer à se battre?
C'est la deuxième option que choisit avec courage l'héroïne, pour tenter de sortir de l'ornière à la fois sa propre vie qui s'éloigne dangereusement de ses rêves de jeunesse et celle de son adolescent en risque de mal tourner. Elle décide de l'emmener dans une chevauchée à deux dans les montagnes kirguizes, chevauchée qui tournera à l'aventure dans le sens le plus plein du terme, symbolique, épique et dramatique.
Bien qu'un peu rebutée par le style hyper-réaliste de la partie bordelaise du roman, j'ai été très touchée par cette histoire qui tient debout tout en étant improbable (il parait qu'elle est basée sur un fait divers), par la puissance de l'amour maternel qui s'en dégage. Et surtout par ce message essentiel qui traverse et propulse le récit, ce mantra qui nous répète qu'il faut continuer, rebondir, rejaillir, car une voie reste ouverte quelle que soit l'adversité.
C'est la deuxième option que choisit avec courage l'héroïne, pour tenter de sortir de l'ornière à la fois sa propre vie qui s'éloigne dangereusement de ses rêves de jeunesse et celle de son adolescent en risque de mal tourner. Elle décide de l'emmener dans une chevauchée à deux dans les montagnes kirguizes, chevauchée qui tournera à l'aventure dans le sens le plus plein du terme, symbolique, épique et dramatique.
Bien qu'un peu rebutée par le style hyper-réaliste de la partie bordelaise du roman, j'ai été très touchée par cette histoire qui tient debout tout en étant improbable (il parait qu'elle est basée sur un fait divers), par la puissance de l'amour maternel qui s'en dégage. Et surtout par ce message essentiel qui traverse et propulse le récit, ce mantra qui nous répète qu'il faut continuer, rebondir, rejaillir, car une voie reste ouverte quelle que soit l'adversité.
