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Critique de Bouvy
Charlotte et Hank ont désormais rejoint le bataillon Coup de Grâce commandé par le jeune Claude Weezers, qui n'est autre que le fils du président de Patria, comme le chef de l'armée rebelle, leur ennemi, Kane Madehouse. Ce dernier occupe la forteresse de Bold Creek, avec en appui un puissant divin, le Centaure. L'homme cheval sème la terreur dans l'armée régulière par la puissance, la rapidité et la précision de ses attaques. Il se régénère si vite qu'il en est presque immortel. le bataillon Coup de Grâce va donc aider les troupes du vieux commandant Wall qui n'arrive pas à conquérir la forteresse et perd ses soldats inutilement. Hank, cette fois encore, va devoir affronter un puissant et coriace ennemi en se mettant en danger…
Pour ce cinquième tome, c'est Charlotte qui, dans ce monde masculin qu'est l'armée, est mise de côté, malgré le courage dont elle a fait preuve dans les épisodes précédents. Mais c'est avant tout une civile, il est donc normal que les militaires l'épargnent des combats. Les dessins, tant les personnages humains, les divins et les paysages sont toujours d'excellente facture. Cette fois, je trouve que c'est le scénario qui est léger. Trop à mon goût. Cet opus se lit aussi vite qu'un soimple chapitre, n'est jamais qu'une bataille qui, si ce n'est une nouvelle arme secrète du côté des réguliers (qui peuvent être aussi cruels que les renégats) il ne se passe rien dans cet épisode. Il se termine en nous laissant sur notre faim mais en nous promettant sans doute de palpitants rebondissements (c'est le moins que je puisse espérer) pour le prochain album annoncé en juin.
Pour ce cinquième tome, c'est Charlotte qui, dans ce monde masculin qu'est l'armée, est mise de côté, malgré le courage dont elle a fait preuve dans les épisodes précédents. Mais c'est avant tout une civile, il est donc normal que les militaires l'épargnent des combats. Les dessins, tant les personnages humains, les divins et les paysages sont toujours d'excellente facture. Cette fois, je trouve que c'est le scénario qui est léger. Trop à mon goût. Cet opus se lit aussi vite qu'un soimple chapitre, n'est jamais qu'une bataille qui, si ce n'est une nouvelle arme secrète du côté des réguliers (qui peuvent être aussi cruels que les renégats) il ne se passe rien dans cet épisode. Il se termine en nous laissant sur notre faim mais en nous promettant sans doute de palpitants rebondissements (c'est le moins que je puisse espérer) pour le prochain album annoncé en juin.
