Bien qu'ayant eu, comme tout aspirant bachelier, un enseignement, obligatoire et très mal dispensé, je ne connais rien de Rousseau. Je n'en suis pas très fière, mais c'est ainsi. La philo, m'a été mal enseignée, et donc ce qui aurait du m'être une ouverture sur le monde, a été au contraire pour moi, une chose immonde et totalement hermétique.
Mais, l'âge aidant, et consciente de mon inculture dans ce domaine, j'ai essayé malgré tout de m'intéresser à la chose, de loin, je le concède, mais un peu tout de même.
Les éditions Au diable Vauvert en collaboration avec Babélio m'offrent la possibilité d'en connaître un peu plus sur le personnage. Et c'est avec des attentes énormes que j'entreprends la lecture de ce livre.
Je ne juge pas la documentation, et le travail de recherche, que je crois sincèrement soignés, et pertinents. Je n'ai aucun reproche stylistique. Rien de tout cela.
C'est juste que et ouvrage, est à l'image de
Jean- Jacques Rousseau dans sa jeunesse : touche à tout.
L'inculte que je suis pour " la chose philosophique", bien qu'ayant appris de la vie de Rousseau, n'a pas trouvé dans ce livre de synthèse claire, nette et précise de ce que Jean –
Jacques Rousseau représente en terme d'idées et de concepts philosophiques. J'aurais aimé, à l'issue de ce livre, avoir envie de me plongée dans un des ouvrage du philosophe, dont on dit tant de bien….La philo m'épouvante toujours autant, 30 ans après l'avoir rencontrée non pas de gré…mais de force !!!
L'épilogue sera un peu plus conforme à mes attentes, mais…c'est un peu tard.
J'en apprendrai plus, nettement plus, en ouvrant le Lagarde et Michard.
Lien :
http://leblogdemimipinson.bl..