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Critique de Marmara


Ayant lu "La vallée du lotus rose ", j'ai choisi de lire dans la foulée "La cité du lotus rose ", curieuse de connaître la suite du parcours de Jezebel, jeune aristocrate britannique partie aux Indes rencontrer son tuteur qui a, sans la concerter il va sans dire, décidé de la marier. Je dois reconnaitre que n'étant pas très habituée aux sagas, je craignais de voir s'essouffler le récit, mais il n'en fut rien. L'auteure a su maintenir le rythme, éveiller ma curosité, et face à une telle imagination, je ne peux qu'être admirative. Cependant, je lui reprocherai ce que dans mon billet sur "la vallée du lotus rose " je lui reprochais déjà, à savoir les descriptions récurrentes et beaucoup trop longues pour mon goût. Pour cette seule raison je n'envisage pas de la lire de nouveau, car je trouve que c'est vraiment lassant. De surcroit, à cette multitude de descriptions est venue s'ajouter les ébats de Jan et de Jezebel, évoqués sans grossièreté certes, mais bien plus souvent qu'il ne le fallait pour que le lecteur comprenne que se retrouver dans les bras l'un de l'autre n'était pour eux que bonheur et plaisir. Je voudrais ajouter à ce propos, qu'en ce qui concerne les scènes de sexe, Kate Mc Alistair devrait s'en tenir à cette limite, car il suffirait de très peu pour qu'elle franchisse la ligne rouge, la mienne, en tout cas.
L'auteure s'est sentie tenue de rappeler certains faits, probablement à l'adresse des lecteurs n'ayant pas lu le premier tome, chose que j'ai trouvée non seulement ennuyeuse, mais pas nécessaire, car lorsqu'on lit une saga, il me semble qu'on est censé commencer par le premier tome. Si bien que, au passage, j'ai eu droit pour une deuxième fois ! à la description du bureau de monsieur le baron, et ce, avec force détails :( ... La fin de cet opus m'a un peu déçue, non parceque le lecteur pouvait facilement la prévoir, mais parceque je n'ai pas apprécié cette immersion dans un contexte que j'ai ressenti comme onirique.
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