>
Critique de Luria
Il est des lectures dont on se souvient plus que d'autres. du bon usage des compliments, il y a cette histoire de tableaux en toile d'intrigue dont je me souvenais plutôt bien.
Il y a aussi Isabel qui observe et analyse son univers d'un ton docte, encyclopédique et diablement suranné. de fait, je ne connais rien d'Alexander McCall Smith, ni de l'âge qu'il avait quand il a écrit ce roman, mais à travers Isabel je vois en guise de marionnettiste un vieux bonhomme cultivé et satisfait qui n'a pas eu d'enfants ou alors il y a fort longtemps. Comme cet entourage qui te balance des généralités d'un ton assuré sur des sujets qui lui sont étrangers.
Alors forcément, à travers ce miroir étrange, Isabel n'a pas plus de concistance qu'un personnage de papier. Mais cela n'empêche absolument pas le lecteur d'apprécier la lecture de cette série.
Il y a aussi Isabel qui observe et analyse son univers d'un ton docte, encyclopédique et diablement suranné. de fait, je ne connais rien d'Alexander McCall Smith, ni de l'âge qu'il avait quand il a écrit ce roman, mais à travers Isabel je vois en guise de marionnettiste un vieux bonhomme cultivé et satisfait qui n'a pas eu d'enfants ou alors il y a fort longtemps. Comme cet entourage qui te balance des généralités d'un ton assuré sur des sujets qui lui sont étrangers.
Alors forcément, à travers ce miroir étrange, Isabel n'a pas plus de concistance qu'un personnage de papier. Mais cela n'empêche absolument pas le lecteur d'apprécier la lecture de cette série.
