Curieuse de voir quel type de polar
Colleen McCullough pouvait bien écrire, elle qui donne plutôt dans le roman sentimental ou historique, j'ai emprunté "The prodigal son" - ou "
le dernier banquet" en français- à la bibliothèque. Il ne me laissera pas un souvenir impérissable. Je l'ai déjà dit dans d'autres chroniques, écrire un bon polar est un art et n'est pas donné à tout le monde, que l'on soit écrivain renommé ou pas.
Ce livre se laisse lire mais mon sentiment estque l'auteur a embrouillé les pistes, pensant ainsi écrire un bon roman policier. Mais non, il faut plus que cela. Les policiers sont dépassés et la fin ne m'a pas convaincue.
Commenter  J’apprécie         60