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Critique de jeandubus




Val mac Dermid a du mal à assumer. On commence par une dédicace à son « jumeau diabolique » ( ???=), suivent deux définitions de la pendaison, légale et ésotérique, puis des remerciements bizarres dont ceux adressés à Diana Muir qui aurait repéré le défaut fatal à l'intrigue puis proposé, comme ça, un rebondissement convenable.
Ce livre n'est pas facile à écrire (sic). Donc on fait un « livre premier », suivi d'une introduction écrite par une journaliste sans morale , et d'un prologue particulièrement pervers qui débouche enfin sur une première partie nommée « au commencement » ouvrant la porte au chapite 1 page 19.
L'impératrice du genre (cf. la 4eme de couverture) a du mal à justifier son penchant pour la peine de mort.Thatcherisée à mort, elle préfère se cacher derrière son petit doigt.
N'empêche qu'à désigner le coupable page 300 alors qu'il en reste 350, personne n'est dupe. Tout le monde s'accorde sur le fait qu'on ne doit rien dire avant la fin sauf van Mc Dermid empêtrée dans son roman foireux qui au bout du compte doit se justifier d'une manière pitoyable en signant un roman que l'auteure présumée décide de ne pas publier.
Peu importe ; une jeune fille de 13ans disparait, et ce n'est pas Joel Decker qui écrit. Pour certains qui dénoncent la mièvrerie de « l'affaire Harry Quebert » ce livre indécent est un moyen de se récupérer.


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