"
La belle vie", suite de "
Trente ans et des poussières" et de l'histoire du couple Calloway, ne soutient pas la comparaison : la mièvrerie qui s'en dégage en fait pratiquement un roman à l'eau de rose, un comble pour McInerney. On peine à éprouver de l'intérêt pour ces représentants de l'élite new-yorkaise englués dans leurs petits problèmes sentimentaux et familiaux. Contrairement à "Trente ans...", l'ensemble manque singulièrement de coeur et sombre vite dans la facilité.
MAIS le dernier chapitre est d'une telle beauté qu'il rattrape presque tout le reste.
Commenter  J’apprécie         30