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Critique de plume_et_vanille
Red, White and Royal Blue (titre original), un livre dont j'ai entendu parler de plein de recoins différents, et que je m'étais promise de lire avant la sortie du film. Et bien voilà qui est fait. Petit point sur l'histoire, on suit Alex et Henry (l'histoire est écrite à la troisième personne), Alex est le fils de la président des Etats Unis et Henry est le petit fils de la reine d'Angleterre. Déjà, c'est pas banal.
Ce livre de Casey McQuinton est imprégné de la nouvelle génération. D'abord par son langage, vulgaire, mais aussi pas son atmosphère. On entend parler de trouple, de sex-friends, on embrasse ses meilleurs amis après avoir bu un demi-litre de Tequila, bref, c'est un livre bien imprégné de notre société, très moderne, ce qui d'habitude est pour me déplaire. D'une certaine façon, j'aime lire pour m'échapper, et si c'est pour m'échapper dans un monde qui ressemble trait pour trait au mien, je préfère reste chez moi. Mais finalement, Red White and Royal Blue, c'est une agréable surprise. Ce qui à le plus marché pour moi, c'est l'humour, j'ai passé le premier tiers du livre a rigoler et ça, en générale, c'est bon signe. Au delà du second degré et de l'autodérision mordante d'Alex, c'est aussi une histoire d'amour, entre un homme et un homme, dans un milieu où rien n'est plus tabou. Et s'est avec un air un peu Shakespearien que se découpe la relation d'Alex et Henry. Relation charnelle, relation amoureuse, dans une société où tout le monde embrasse tout le monde et où l'on couche ensemble rien que pour pouvoir dire qu'on l'a fait, les lignes sont troubles. Qu'est c'est que d'aimer ? Alors c'est vrai que j'ai trouvé le livre un petit peu long, et vers le milieu je me suis un peu ennuyée. J'ai aussi haie la traduction (mon bébé ? sérieusement ?) et je vais d'ailleurs m'empresser de le relire en anglais pour soulager ma conscience. Mais il faut se l'avouer, j'ai ris (vraiment. beaucoup. franchement.) et j'ai même pleurer. Et puis surtout, ça fait plaisir de lire une romance où l'environnement (en l'occurrence les élections présidentielles, le nationalisme de la famille royale, les études de politiques etc...), n'était pas négligé. Alors c'est vrai que je n'y connais rien en politique, et ça se trouve, d'un point de vue réaliste, ce livre, c'est du grand n'importe quoi, mais en tout cas, il y'avais assez de mot compliqué pour me convaincre d'un vrai travail de recherche, derrière cette romance adorable à souhait. J'ai adoré !
Ce livre de Casey McQuinton est imprégné de la nouvelle génération. D'abord par son langage, vulgaire, mais aussi pas son atmosphère. On entend parler de trouple, de sex-friends, on embrasse ses meilleurs amis après avoir bu un demi-litre de Tequila, bref, c'est un livre bien imprégné de notre société, très moderne, ce qui d'habitude est pour me déplaire. D'une certaine façon, j'aime lire pour m'échapper, et si c'est pour m'échapper dans un monde qui ressemble trait pour trait au mien, je préfère reste chez moi. Mais finalement, Red White and Royal Blue, c'est une agréable surprise. Ce qui à le plus marché pour moi, c'est l'humour, j'ai passé le premier tiers du livre a rigoler et ça, en générale, c'est bon signe. Au delà du second degré et de l'autodérision mordante d'Alex, c'est aussi une histoire d'amour, entre un homme et un homme, dans un milieu où rien n'est plus tabou. Et s'est avec un air un peu Shakespearien que se découpe la relation d'Alex et Henry. Relation charnelle, relation amoureuse, dans une société où tout le monde embrasse tout le monde et où l'on couche ensemble rien que pour pouvoir dire qu'on l'a fait, les lignes sont troubles. Qu'est c'est que d'aimer ? Alors c'est vrai que j'ai trouvé le livre un petit peu long, et vers le milieu je me suis un peu ennuyée. J'ai aussi haie la traduction (mon bébé ? sérieusement ?) et je vais d'ailleurs m'empresser de le relire en anglais pour soulager ma conscience. Mais il faut se l'avouer, j'ai ris (vraiment. beaucoup. franchement.) et j'ai même pleurer. Et puis surtout, ça fait plaisir de lire une romance où l'environnement (en l'occurrence les élections présidentielles, le nationalisme de la famille royale, les études de politiques etc...), n'était pas négligé. Alors c'est vrai que je n'y connais rien en politique, et ça se trouve, d'un point de vue réaliste, ce livre, c'est du grand n'importe quoi, mais en tout cas, il y'avais assez de mot compliqué pour me convaincre d'un vrai travail de recherche, derrière cette romance adorable à souhait. J'ai adoré !
