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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Voila le premier tome d'une saga familiale. Bien que le titre est "Edith", ce n'est pas le personnage principal. Mais bien un dénommé Raphaël.

Raphaël, est un jeune homme sans travail fixe, qui n'a qu'une seule passion : La course à pied. Il vit seul, évite un maximum le contact humain et n'a plus que sa mère, son père étant mort dans sa jeunesse. Tout son petit monde va être bouleversé par l'arrivée d'un notaire qui le demande d'assister à un enterrement (close d'un héritage) .

-Et vous vous êtes donné la peine de venir personnellement me remettre l'invitation, sans pour autant me dire de qui il s'agit, pour être certain que je vais accepter. C'est un peu faible comme tactique, vous ne trouvez pas? L'appât du gain et ma curiosité vis-à-vis d'un inconnu, voilà ce sur quoi vous compter pour me faire venir? Avouez que vous avez bien confiance en vous, maître Erlmann.
- Mais , mon ami, je n'ai jamais dit que mon client ne vous connaissait pas, .......
Mais qui est donc cet inconnu ? Eh bien c'est son père ....ah cela se corse là ;)

Le roman passe du présent (Raphaël) au passé (Edith et Romain) chapitre après chapitre. J'ai d'ailleurs eut une préférence pour la période d'Edith pour tout vous avouer. le personnage d'Edith est attendrissant. On aimerait lui réaliser un peu de ses rêves.

J'ai eu un peu de mal à rentrer dans l'histoire, mais, une fois les deux premiers chapitres passés, Antonia Medeiros a réussi à m'embarquer dans son univers.
Son écriture est fluide et riche. Elle s'attarde sur les sentiments de ses personnages. Ce qui donne une dimension humaine à ce récit !

Verdict : un bon bouquin à emmener en vacances !
Le second volume est dans ma bibliothèque, il m'attend sagement. Ce sera sûrement une lecture pour courant septembre (si vous souhaitez connaître mon avis sur le second opus avant de vous lancer !)

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Un résumé plus qu'alléchant, n'est-ce-pas ? J'ai cependant été déçue par le premier tome de cette saga. S'il porte bien le nom d'Edith, elle n'est au centre du roman que pour à peine la moitié de celui-ci. Les chapitres alternent des flashback dans le passé, des moments de la vie d'Edith, et ceux de la découverte de son père, maintenant mort, de Raphaël. Et il faut dire que je n'ai pas du tout accroché au personnage de Raphaël. Il semble mou, indécis, attendant on ne sait quoi.

Quant à Edith, je suis restée sur ma faim. Elle n'apparaît finalement que très peu, entre la mise en place de l'intrigue et une brève histoire familiale, mais ce sont les parties que j'ai préférées de l'histoire. C'est dommage qu'elle ne soit pas plus centrale dans le roman, car c'est un personnage à qui l'on peut s'attacher, voire s'identifier et qui a un sacré potentiel.

Je pense que cet ensemble de petites choses qui m'ont manqué est dû au fait qu'il s'agit d'une saga dont c'est le premier tome. Il faut donc en placer les acteurs et en situer l'action dans le temps et l'espace. Il faudra donc lire les tomes suivants pour se faire une idée de cette saga. Et malgré cet avis qui peut paraître très négatif, j'ai quand même passé un bon moment de lecture et j'aurais envie d'en savoir plus sur cette fameuse maison, qui semble être un personnage, ou à tout le moins un élément indispensable, de la saga.
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Sincèrement, je ressors de ce récit avec une drôle d'impression. Je ne pourrais pas dire si j'ai apprécié ma lecture ou non, car le début fut extrêmement pénible pour moi. le style d'écriture de l'auteure est assez singulier et je n'ai pas pour habitude de lire ce genre de littérature. Il y a très peu de rebondissements et les échanges entre les divers personnages sont quasiment inexistants.

De plus, Antonia Medeiros détaille les chaussures à un point tel qu'à certains moments cela crée des longueurs incroyables. Et que dire des descriptions qu'elle donne sur le métier de cordonnier et la passion de Romain... En fait, ce premier tome me donne l'impression d'être un hymne à la chaussure.

Et en même temps, lorsque l'auteure sort de ses descriptions analytiques, l'intrigue nous charme. Je voulais en savoir toujours plus sur la vie des personnages de cette famille. Au fil des pages, je me suis laissée prendre au jeu de vouloir découvrir pourquoi Germain a décidé de se suicider et de laisser de multiples lettres à Raphaël afin de lui raconter sa vie et celle de ses parents. Je voulais savoir ce que ferait Raphaël avec toutes ces informations, mais ce n'est que le premier tome donc je suis restée sur ma faim.

Est-ce que je pourrais me laisser tenter par la suite de cette saga? Très sincèrement, je ne pourrais pas répondre à cette question, car les moments où j'ai senti des longueurs me semblent trop nombreux. de plus, à la fin j'en avais un peu marre de lire toutes ces informations sur le métier de cordonnier, de bottier et sur la façon dont l'on fabrique une chaussure. Ce sont des éléments qui, à mes yeux, ont leur importance dans le présent récit, mais pas à ce point. Mais en même temps, je sens que les personnages se sont ancrés dans mon imaginaire.

Bref, si vous aimez les récits où l'intrigue se déroule tout en douceur, où la plume de l'auteure est analytique et très imagée, cette saga est pour vous!

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Comme pour le premier tome, j'en ai un avis mitigé. Celui-ci m'a clairement plu beaucoup plus que le premier mais ce n'est pas non plus un coup de coeur. Plusieurs pistes abordées dans le premier n'aboutissent pas dans le deuxième. Ainsi, la maison qui m'apparaissait pouvoir être considérée comme un personnage à part entière de la saga, ne l'est finalement pas du tout. Et alors que les descriptions de celles-ci dans le premier tome m'enchantaient et me laissait entrevoir un certain mystère, ici, rien. Tout au plus, la pièce secrète de Germain, qui ne fait pas rêver, c'est le moins que l'on puisse dire...

Encore une fois, si le titre semble indiquer un éclairage particulier sur un personnage, ici Romain, c'est la voix de Germain, à travers les lettres écrites à Raphaël qui nous conte son histoire. Évidemment, son père y a sa place mais on est loin d'en faire le centre du roman.

Ce qui m'a particulièrement plu, c'est la passion de Germain pour les chaussures et tout ce qu'il entreprend pour réaliser son rêve. On se laisse emporter et l'on est vite conquis par cet amour qu'il partage à travers ses lettres.

D'autres passages, par contre, m'ont paru inutiles. Comme, par exemple, celui de la princesse chinoise. Quel épisode sordide pour sortir le personnage de Romain de l'intrigue ! Était-il vraiment nécessaire ? Apporte-t-il réellement quelque chose à l'intrigue ? Il faudra sans doute lire la suite pour y répondre...

Bref, comme pour le premier, il y a des éléments intéressants, des passages dont on questionne la pertinence, mais je crois bien que tant que la saga ne sera pas finie, toutes les pièces du puzzle ne seront pas à leur place. de plus, encore une fois, le personnage sordide de Germain m'a laissé un sentiment de dégoût, de répulsion, qui, je crois, explique en partie mon manque d'enthousiasme pour ce livre. Ce fut cependant, une fois ces chapitres passés, un agréable moment de lecture grâce à la plume de l'auteur.

Merci donc à Babelio et aux Éditions La Bourdonnaye de me l'avoir offert.
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Je suis un peu embêtée, car malgré les critiques dithyrambiques, je n'ai pas ressenti le coup de coeur escompté. J'ai bien aimé ce roman, attention, mais j'ai relevé plusieurs incohérences. Peut-être que j'en attendais trop, c'est possible.

Tout d'abord, je trouve que la quatrième de couverture dévoile trop d'éléments, puisqu'elle résume vraiment toute l'intrigue contenue dans ce court format, si bien qu'il n'y a aucune surprise à la lecture. La narration est en analepse, on oscille entre Raphaël, en 1976 et la vie d'Edith, en 1915-1916.

Au départ, j'ai eu un peu de mal à entrer dans l'histoire. J'ai trouvé que la romancière nous plongeait trop vite dans son intrigue, sans mettre les choses en place; j'ai eu ce sentiment d'avoir comme raté un épisode. Et puis finalement, le côté saga familiale à donné tout son envol au roman, que je n'ai plus lâché avant d'en avoir lu la dernière page.

Si le personnage de Raphaël m'a laissée un peu indifférente, j'ai totalement adhéré à l'histoire d'Edith, une jeune femme attachante et entière. Antonia Medeiros nous emmène dans les tréfonds d'une histoire familiale peu banale et allez savoir pourquoi, mais du coté de l'ambiance, j'ai pensé au roman "Le Parfum". Edith est mariée avec un personnage absolument sordide, Romain, par qui le malheur arrive. On découvre la ville de Bayeux, à l'heure de la Première Guerre Mondiale et Antonia Medeiros parvient à nous plonger pleinement à la fois dans l'atmosphère sombre et dans son intrigue.

Si au début j'ai trouvé que le style manquait parfois de fluidité, il s'affine au fil des pages et révèle une plume sensible, parfois cynique et qui happe les lecteurs friands de sagas familiales. le sujet n'est pas banal (la botterie, le fétichisme), mais les descriptions parfaites le rendent vivant et nous donnent envie de découvrir, avec Raphaël, l'histoire des Crèvecoeur.

Malgré la qualité évidente de l'intrigue et son originalité, quelques coquilles m'ont un peu froissée, surtout des incohérences. Raphaël, en 1976, apprend qu'Edith est née en 1886. Il calcule et nous dit "Edith aurait dû avoir plus de 100 ans si elle vivait encore." Je ne sais pas qui de Raphaël ou de la romancière n'est pas fort en maths mais Edith devrait avoir 90 ans. Bon. L'autre petite boulette concerne le passage, en 1916, où Edith décide de se faire couper les cheveux comme Louise Brooks, qu'elle adore. Moi aussi j'adore Louise Brooks et je peux vous dire qu'elle est née en 1906. En 1916 elle avait donc 10 ans et n'avait pas encore démarré sa carrière, c'est arrivé au milieu des années 20.

Malgré cela, je lirai le tome 2, car je suis vraiment curieuse de connaître les secrets de cette étrange famille Crèvecoeur. Comme je l'ai précisé, l'intrigue est maîtrisée et vraiment captivante.
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Je viens de terminer ce roman qui est le premier tome d'une saga familiale qui se déroule au XXème siècle à Bayeux. C'est un roman assez court, facile à lire, dont l'intrigue est assez bien menée. On passe de l'époque de Raphaël à celle d'Édith, sa grand-mère, de manière assez fluide. Raphaël découvre l'identité de son père à la mort de ce dernier et va remonter le fil d'une histoire familiale assez compliquée et remplie de secrets. L'univers des cordonniers est bien décrit, c'est un aspect intéressant du roman. Cependant j'ai eu du mal à m'attacher aux personnages, sauf peut-être à Édith qui est un personnage au caractère fort malgré les épreuves qu'elle subit. J'ai envie de lire les 2 autres tomes, ce qui est tout de même bon signe. Je suis donc un peu mitigée, j'attends la suite pour parfaire mon jugement! A noter quelques coquilles dans le texte, c'est dommage, d'autant que la couverture du roman est magnifique! Merci aux éditions de la Bourdonnaye et à Babelio pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique! C'était une intéressante découverte.
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En cette année 1975, Germain Crèvecoeur, l'un des plus grands créateurs de chaussures pour femmes du XXème siècle, vient de se donner la mort par pendaison. Adulé par les femmes, il menait pourtant une vie très solitaire dans son hôtel particulier de Bayeux, propriété de sa famille depuis deux siècles.

L'homme, descend en effet par les Gervais, d'une longue lignée de créateurs de souliers, et lègue l'ensemble de ses biens, y compris la boutique du 15 rue Saint Malo, à Raphaël qui n'est autre que son fils caché et qu'il ne connaissait pas.

Le jeune homme mène lui aussi une existence solitaire, ne s'intéressant qu'à la course à pied et vivant de ses rentes. Il va alors partir à la recherche de sa généalogie et s'intéresser plus particulièrement à Edith, dont le tableau l'attire comme un aimant.

Quelques semaines avant la déclaration de guerre du 1er août 1914, Edith Gervais s'apprête à épouser Romain Crèvecoeur. La jeune femme a déjà 27 ans et cette demande en mariage tombe à pic pour son père qui souhaite que l'entreprise familiale bicentenaire lui survive et son prétendant en a bien l'intention.

Premier tome de la saga familial des Crèvecoeur, Edith pose donc les bases et nous permet de rencontrer les différents protagonistes que l'on va sans doute continuer à suivre dans les volumes suivants.

Je vous avoue que j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et que la partie contemporaine consacrée à Raphaël ne m'a pas franchement intéressé. En revanche, dès qu'Edith a fait son apparition, j'ai été totalement captivée et les pages ont alors défilé à une allure folle.

J'ai suivi avec beaucoup d'intérêt la vie d'Edith qui ne peut pas prendre son destin en main parce qu'elle est née fille. Contrainte d'accepter le mariage arrangé par ses parents qui fera rapidement son malheur, la guerre va lui apporter l'amour en la personne d'Hektor, un prisonnier de guerre français par sa mère et allemand par son père dont elle va faire la connaissance à l'hôpital où elle est infirmière bénévole en 1915

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Une très belle découverte, avec une histoire et des personnages originaux.
Ce 1er tome se concentre sur la vie d'Edith Crèvecoeur.
J'aime beaucoup cette saga familiale car chaque personnage à une personnalité marquée et atypique, sans être complètement fantaisiste. Je trouve que chaque personnage est attachant.
J'ai été particulièrement étonne puis charmé de découvrir une saga familiale qui s'articule autour d'objets à priori anodins: les chaussures. Je trouve cet angle d'attaque osé. le pari est réussi et fonctionne très bien.
L'histoire est écrite dans un style moderne, facile à lire. L'auteur s'essaye à une rythmique déjà vue (des chapitres alternés sur deux personnages à deux époques différentes). Ce rythme artificiel sera heureusement abandonné dans le tome suivant.
Un très bon cliffhanger qui nous donne envie de lire la suite.
J'adhère complètement à cette saga que je trouve originale et qui donne un coup de jeune à cette catégorie qui, il faut le dire, est habituellement soporifique et vieillotte.
A lire !
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Une très belle découverte, avec une histoire et des personnages originaux.
Ce deuxième tome se concentre sur la vie de deux personnages restés mystérieux dans le 1er tome, à savoir Germain Crèvecoeur et son père Romain.
J'aime beaucoup cette saga familiale car chaque personnage à une personnalité marquée et atypique, sans être complètement fantaisiste. Je trouve que chaque personnage est attachant, même Romain.
J'ai été particulièrement étonne puis charmé de découvrir une saga familiale qui s'articule autour d'objets à priori anodins: les chaussures. Je trouve cet angle d'attaque osé. le pari est réussi et fonctionne très bien.
L'histoire est écrite dans un style moderne, facile à lire. En revanche, il n'y a pas de signature particulière de l'auteur dans son écriture (mais est-ce vraiment utile ?).
Un bon cliffhanger qui nous donne envie de lire la suite.
J'adhère complètement à cette saga que je trouve originale et qui donne un coup de jeune à cette catégorie qui, il faut le dire, est habituellement soporifique et vieillotte.
A lire !
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C'est un roman qui fait 185 pages, qui se lit très bien et même si je m'attendais à autre chose et même si je trouve que certains points auraient mérités d'être plus approfondis, ce fut une agréable lecture.

Je ne sais pas pourquoi mais je pensais vraiment qu'on allait suivre la vie de Germain mais plus à son âge adulte, je ne pensais pas qu'on allait remonter à ses origines avec l'histoire de ses parents et cela m'a un peu déstabilisé mais à part ça, je suis vraiment bien entrée dans l'histoire. On se retrouve pris entre deux époques : d'un côté on est en 1915 où l'on va suivre la vie d'Edith, la mère de Germain, avec ses espoirs, ses déceptions, ses doutes...Et de l'autre on va suivre Raphaël, le fils caché de Germain, des années plus tard, qui à la mort de celui-ci va hériter de tous ses biens et va partir à la quête de ses racines.

J'ai beaucoup aimé Edith qui est une femme avec du caractère mais en 1915, on devait se plier aux choix de ses parents et c'est comme ça qu'elle se retrouve mariée à un homme malhonnête qui a su embobiner son monde pour atteindre son objectif. Malgré tout, elle reste forte et indépendante.

Raphaël, quant à lui est un jeune homme qui se laisse porter par les évènements, il fait des petits boulots pour lui permettre d'exercer sa passion : la course. Je l'ai trouvé un peu mou au début et je dois reconnaître que ce genre d'homme qui se la coule douce ne me plait pas forcément, par contre j'ai bien aimé sa ténacité à vouloir savoir qui était son père.

Je ne suis pas totalement conquise par ce livre car d'une part j'ai été perdue au niveau du temps : quand on suivait Raphaël, j'étais persuadée qu'on était dans les années 2000 et quand il dit sa date de naissance à un moment donné (1952) j'ai été un peu larguée...Je ne comprenais pas trop et puis en fait je me suis rendue compte qu'on était en 1975 !!!! C'est peut être bête mais j'aime savoir à quelle époque je me trouve quand je lis un roman.

Et d'autre part, je trouve que tout reste en surface, que se soit par rapport au contexte notamment quand on se retrouve en 1914 avec la guerre qui éclate et les conditions de vie...ou par rapport aux personnages (on apprend le strict minimum pour les apprécier mais on ne va pas assez loin à mon sens). Je pense que si l'Auteur avait fourni plus de détails, l'histoire aurait été encore plus prenante.


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