Je n'ai pas reconnu la brillante plume des Larmes du Reich.
Si les chapitres courts, toujours bienvenus, restent sa marque de fabrique, l'écriture s'avère lourde, heurtée et n'a pas tardé à me lasser. Les 60 premières pages sont interminables et heureusement que les 2/3 suivants relèvent la prestation d'ensemble. La description de la voiture, par exemple, n'en finit pas. Les dialogues sont scolaires et les personnages un peu trop caricaturaux à mon goût.
On est plus proche du regard d'un cinéaste sur un fait divers que de l'immersion d'un écrivain dans cette période opaque de l'histoire.
Je suis très déçu par ce roman, d'autant plus que l'attente était grande après avoir découvert
les larmes du Reich…
Un peu trop sans doute.
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