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Critique de Libellule41
Le premier de ces deux romans est un livre plein de charme et de fraîcheur. On pourrait le qualifier de "chronique", celle d'une maison de vacances joliment nommée "Duinroos" (Rose de la dune), située sur l'île de Vlieland au large des pays-Bas.
Vonne van der Meer fait vivre ces "invités de l'île", locataires de passage qui, à l'issue de leur séjour annotent le livre d'or de la maison. Des gens de toutes origines, conditions sociales, de tous âges, qui viennent là pour se reposer, soigner leurs blessures, retrouver des souvenirs, goûter la solitude ou les plaisirs de la plage. L'auteure fait vivre une femme, qui, a contrario, symbolise la permanence de ce lieu; c'est la gardienne, celle qui ouvre et ferme la maison, celle encore qui jette un oeil de temps et temps en passant à bicyclette; c'est aussi celle qui, après la saison estivale, ramène sur le sable les coquillages ramassés par les uns et les autres tout au long de l'été. le livre s'achève sur cette belle image.
Dans "Le bateau du soir" , la gardienne de Duinroos égrène à nouveau le souvenir de ces locataires qui se succèdent à l'année dans cette villa. Mais pour moi, curieusement, le charme du premier volume n'a pas opéré cette fois-ci.
Vonne van der Meer fait vivre ces "invités de l'île", locataires de passage qui, à l'issue de leur séjour annotent le livre d'or de la maison. Des gens de toutes origines, conditions sociales, de tous âges, qui viennent là pour se reposer, soigner leurs blessures, retrouver des souvenirs, goûter la solitude ou les plaisirs de la plage. L'auteure fait vivre une femme, qui, a contrario, symbolise la permanence de ce lieu; c'est la gardienne, celle qui ouvre et ferme la maison, celle encore qui jette un oeil de temps et temps en passant à bicyclette; c'est aussi celle qui, après la saison estivale, ramène sur le sable les coquillages ramassés par les uns et les autres tout au long de l'été. le livre s'achève sur cette belle image.
Dans "Le bateau du soir" , la gardienne de Duinroos égrène à nouveau le souvenir de ces locataires qui se succèdent à l'année dans cette villa. Mais pour moi, curieusement, le charme du premier volume n'a pas opéré cette fois-ci.
