C'est en lisant Tesson que j'ai découvert
Daniel Mendelsohn et ses disparus, je ne me rappelle d'ailleurs plus en quels termes et pourquoi il en parlait, mais bon, j'avais noté le nom, rechigné à l'emprunter devant la grosseur du livre et son thème mais finalement je me suis lancée et déjà l'arbre généalogique du début m'a interpellé, faut dire que la généalogie est une de mes occupations. Je commence et après 10 phrases et autant de pages d'adaptation au style, je suis accrochée, ces phrases interminables, qui serpentent rendent parfaitement la recherche ; quelle recherche ? Celle du passé ? Des disparus ? Des oubliés ? de soi ? Un texte ponctué par des photos et liant histoire biblique et histoire familiale. Et puis ce chiffre : 48. Survivants.
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