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DEJANTE, ON PEUT LE DIRE.
Un peu artificiel ou forcé quand même cette histoire dessinée et peinte de cent cinquante pages.
On suit les peripeties de cette retraitée évadée dans le Benelux sujette tout à coup au démon de minuit. On se demande bien se qu'elle faisait en EPAD.
C'est sympatique, facile à la suivre. C'est fait dans le naif mais pas mièvre. Cette dessinatrice a trouvé son quelque chose.
Un style qui mérite d'être suivi.
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