Hostile aux schèmes traditionnels "façon fleur bleue" du roman d'amour, je n'ai pourtant pas hésité longtemps avant de me plonger dans
l'Idole, tant je sais que le langage de l'auteur, "académique" et sonnant comme une douce musique, me sied bien. Je dois dire que je n'ai pas regretté le temps passé à lire cet ouvrage: une fresque
De La Renaissance italienne, où se dévoilent les manigances politiques, où se révèlent les jalousies et les haines; au centre de cette tempête humaine il y a Vittoria une héroïne malgré elle, dont la beauté est aussi la malédiction.
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