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Critique de celinezug
Ce grand alpiniste n'est pas devenu un donneur de leçons, non il reste l'homme des sommets, le solitaire, le bâtisseur de musée, l'humaniste qui aide les paysans des montagnes mais il le dit sans détour : notre consommation de la montagne comme terrain de jeux et de loisirs nous mène à notre perte.
Le tourisme de masse en mal de sensation n'a pas sa place dans cette immensité fragile qui souffre de notre inconscience.
Aimer la montagne c'est la respecter, se préparer à l'aborder, rester humble et faire l'expérience de la solitude nécessaire pour écouter son instinct et dompter sa peur naturelle.
Lui qui a été accusé d'inconscience lors d'une ascension ou il perdit son frère est pourtant un homme de raison.
Un philosophe qui réfléchit à la verticale et arrive à nous faire détester le ski et ses infrastructures (entre autre).
Une lecture nécessaire et une réflexion indispensable pour se reconnecter avec le marcheur archaïque de nos origines.
Le tourisme de masse en mal de sensation n'a pas sa place dans cette immensité fragile qui souffre de notre inconscience.
Aimer la montagne c'est la respecter, se préparer à l'aborder, rester humble et faire l'expérience de la solitude nécessaire pour écouter son instinct et dompter sa peur naturelle.
Lui qui a été accusé d'inconscience lors d'une ascension ou il perdit son frère est pourtant un homme de raison.
Un philosophe qui réfléchit à la verticale et arrive à nous faire détester le ski et ses infrastructures (entre autre).
Une lecture nécessaire et une réflexion indispensable pour se reconnecter avec le marcheur archaïque de nos origines.
