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Critique de Macrali
Gabrielle Kaplan, détective privée installée à Casablanca, se fait forcer la main pour assurer une mission a priori anodine : pénétrer chez le client, riche industriel en instance de divorce, pour subtiliser une enveloppe et la lui remettre discrètement à l'hippodrome lors d'un échange de serviette en cuir identique.
Mais les documents contenus dans cette enveloppe semblent intéresser beaucoup de monde, des hommes politiques aux corses, en passant par la CIA. Les cadavres s'accumulent et Gabrielle Kaplan découvre très vite qu'elle est surveillée et suivie, tandis que son client est aux abonnés absents.
Melvina Mestre campe l'intrigue dans le Casablanca d'après-guerre en 1951 et inscrit son récit dans le contexte géopolitique : rêve d'indépendance du Maroc, influence de la culture américaine, Américains en "embuscade" pour reprendre la main sur les Français, fonctionnement du Protectorat, corruption...
C'est très instructif, malheureusement j'ai eu du mal à entrer dans l'intrigue. Pourtant le personnage de Gabrielle Kaplan m'a beaucoup plu par sa volonté d'indépendance et son raisonnement.
Une lecture en demie-teinte mais qui m'est propre car je suis peu passionnée par cette période historique.
Mais les documents contenus dans cette enveloppe semblent intéresser beaucoup de monde, des hommes politiques aux corses, en passant par la CIA. Les cadavres s'accumulent et Gabrielle Kaplan découvre très vite qu'elle est surveillée et suivie, tandis que son client est aux abonnés absents.
Melvina Mestre campe l'intrigue dans le Casablanca d'après-guerre en 1951 et inscrit son récit dans le contexte géopolitique : rêve d'indépendance du Maroc, influence de la culture américaine, Américains en "embuscade" pour reprendre la main sur les Français, fonctionnement du Protectorat, corruption...
C'est très instructif, malheureusement j'ai eu du mal à entrer dans l'intrigue. Pourtant le personnage de Gabrielle Kaplan m'a beaucoup plu par sa volonté d'indépendance et son raisonnement.
Une lecture en demie-teinte mais qui m'est propre car je suis peu passionnée par cette période historique.
