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Critique de Libertad3
250 pages en format poche ; une sorte de Haïku comparé à d'autres pavés de Douglas Kennedy. Mais l'ambiance malsaine et la sauvagerie implacable en font un récit tout aussi contondant.
Fasciné par une carte de l'Australie, Nick part visiter ses grands espaces à bord d'un vieux bus Volkswagen. Très vite il découvre un pays qui ressemble moins aux descriptions sirupeuses d'un guide touristique qu'aux pires scènes de Razorback ou Wake in Fright. Tout semble virer au cauchemar dans la touffeur d'une chaleur infernale qui réduit l'être humain en animal assoiffé de bière, transforme la distance en piège mortel, brouille la vue, altère l'esprit, fait suer les corps et accélère la putréfaction… Une sorte de Misery version fournaise, dont on ne perd pas une ligne !
Fasciné par une carte de l'Australie, Nick part visiter ses grands espaces à bord d'un vieux bus Volkswagen. Très vite il découvre un pays qui ressemble moins aux descriptions sirupeuses d'un guide touristique qu'aux pires scènes de Razorback ou Wake in Fright. Tout semble virer au cauchemar dans la touffeur d'une chaleur infernale qui réduit l'être humain en animal assoiffé de bière, transforme la distance en piège mortel, brouille la vue, altère l'esprit, fait suer les corps et accélère la putréfaction… Une sorte de Misery version fournaise, dont on ne perd pas une ligne !
