Il y a bien des scénaristes qui savent écrire, pourquoi n'y aurait-il pas des acteurs qui savent lire !
Que celui qui a de la chance n'oublie pas qu'elle est capricieuse. Que celui qui en manque sache bien qu'elle peut lui ouvrir les bras à tout moment.
La chance est femme. Et les femmes vont vers ceux qui les aiment.
Il n'y a pas deux façons de jouer la comédie. Il n'y en a qu'une : la bonne. Et personne ne la connaît. Seule la chance veut bien parfois prêter attention à l'un ou l'autre d'entre nous. Il n'est pas interdit de lui donner un coup de main.
En n'étant pas fainéant, d'abord.
En ayant la volonté démesurée de vaincre les courants défavorables, ensuite.
Et, par-dessus tout, en aimant sans réserve le public qui vient nous voir et nous porter son affection.
La vocation n'est pas spontanée, elle va vers ceux qui l'appellent.