En 1992,
Philippe Meyer nous gratifiait, avec "
Pointes sèches" d'une galerie de portraits sous formes d'apostrophes destinées à être prononcées devant leur "cible". Il en résultait une trentaine de textes à l'ironie douce amère.
Avec "
Eaux-fortes",
Philippe Meyer récidive avec une douzaine de portraits sous forme de petits essais. Bien sûr, trois ans plus tard on retrouve pour partie les mêmes cibles - le microcosme politique ne se renouvelle pas aussi vite qu'on pourrait le souhaiter...
Bref, une belle galerie de portraits où l'on retrouve pêle-mêle "Mitterrand, le masque de cire", "Giscard où l'ensoimêmisé", "
Ségolène Royal où les appétits de Mme Flocon", Sarkosy où l'honnête Iago"...
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