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Critique de clefran45
Il va être très difficile d'écrire une "critique" de ce roman tant il est complet, complexe et dense. Je ne raconterai que la trame du récit mais pas l'histoire, il va falloir vous y plonger ! Cela se passe en Afrique du Sud, pays de l'écrivain, dans un temps où 90% de la planète a été décimée par une fièvre.
Nico Storm raconte ses souvenirs et c'est cela qui constitue ce roman.
Le lecteur assiste à la renaissance d'une société dans laquelle les survivants doivent tout repenser pour vivre. Démocratie ? Dictature ?
Comment peut-on faire des choix pour que l'espèce humaine survive et poursuive ce qui se passe depuis des siècles, à savoir perpétuer son existence?
L'homme est un animal. Un animal social. Un animal social domestiqué. C'est ce que pense Domingo. le père de Nico, lui, pense que la nature humaine trouve toujours des solutions et un moyen de continuer.
Nico, lui, grandit dans ce monde d'après la fièvre. L'auteur tisse son récit au gré des souvenirs de Nico, qui raconte sa survie, sa relation avec son père, qu'il vénère et déteste parfois, son désir de changer les choses et protéger les siens.
C'est un roman qui donne à réfléchir car en décrivant un monde qui n'est plus le notre, le lecteur s'interroge sur sa propre façon de vivre dans notre monde actuel. La consommation, la communication, notre façon de s'attacher.
Dans ce monde d'après la fièvre il y a des hommes qui font le choix de la violence à n'importe quel prix, des hommes monstrueux, des prédicateurs et des courageux, des idéalistes..
Un vrai bonheur de se laisser emmener par Deon Meyer, j'ai pris un bonheur intense à le lire et ne demande qu'à découvrir ses autres romans. Amis lecteurs laissez vous emporter !
Nico Storm raconte ses souvenirs et c'est cela qui constitue ce roman.
Le lecteur assiste à la renaissance d'une société dans laquelle les survivants doivent tout repenser pour vivre. Démocratie ? Dictature ?
Comment peut-on faire des choix pour que l'espèce humaine survive et poursuive ce qui se passe depuis des siècles, à savoir perpétuer son existence?
L'homme est un animal. Un animal social. Un animal social domestiqué. C'est ce que pense Domingo. le père de Nico, lui, pense que la nature humaine trouve toujours des solutions et un moyen de continuer.
Nico, lui, grandit dans ce monde d'après la fièvre. L'auteur tisse son récit au gré des souvenirs de Nico, qui raconte sa survie, sa relation avec son père, qu'il vénère et déteste parfois, son désir de changer les choses et protéger les siens.
C'est un roman qui donne à réfléchir car en décrivant un monde qui n'est plus le notre, le lecteur s'interroge sur sa propre façon de vivre dans notre monde actuel. La consommation, la communication, notre façon de s'attacher.
Dans ce monde d'après la fièvre il y a des hommes qui font le choix de la violence à n'importe quel prix, des hommes monstrueux, des prédicateurs et des courageux, des idéalistes..
Un vrai bonheur de se laisser emmener par Deon Meyer, j'ai pris un bonheur intense à le lire et ne demande qu'à découvrir ses autres romans. Amis lecteurs laissez vous emporter !
