Avec Station Eleven voici donc la dystopie de référence : le monde post-apocalyptique décrit ici a été décimé par....un coronavirus !!!
On adore
Deon Meyer qui, au meilleur de sa forme, délaisse notre héros récurrent préféré ( Benny Griessel!) pour un récit sombre et ardent. Un récit sur la nature humaine bien sûr qui colle d'habitude nous balade en Afsud. J'ai beaucoup aimé ce nouveau registre et peut-être qu'au fond l'apocalypse ne n'est pas si terrible. En attendant la Fièvre nous guette, tous.
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