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Critique de Palabresque
Il s'agit du premier livre que j'ai lu cet été. Je vais me faire sans doute des ennemis, mais je n'ai pas aimé cette lecture. Pour être plus exacte, elle ne m'a rien évoqué, n'a rien fait vibrer en moi : je suis restée froide.
Stardust est le 27ème roman de Leonora Miano, mais il s'agirait du « premier roman [qu'elle] a composé » il y a plus de 20 ans. Il s'agit d'un roman autobiographique dans lequel elle raconte la période où elle fut reçue dans un centre d'hébergement d'urgence pour femme du XIXème arrondissement de Paris, alors qu'elle n'avait que 23 ans et qu'elle était devenue récemment maman d'une petite Bliss. Elle retrace donc ses moments d'errance, ainsi que son combat pour obtenir un logement et un travail avec pour ambition de reprendre ses études. le lecteur accède à ses pensées, à sa colère et à sa détermination, mais surtout à l'amour inconditionnel qu'elle éprouve pour sa fille. Pour elle, elle se battra jusqu'au bout, pour elle, elle se sortira de là.
Ce récit est assez solitaire, à l'image de sa narratrice. Les figures extérieures sont très rares à l'exception de quelques femmes dont Louise. Il s'agit de femmes qui ne croient plus en rien, de femmes qui avant d'arriver là, en France ou au centre d'hébergement, avaient une place dans la société avant qu'une chute ne les emporte dans les nimbes de celle-ci.
Je crois que ce qui m'a manqué, c'est la lumière et c'est d'autant plus frustrant puisque j'avais pourtant entrevu cette lumière dans l'avant-propos que j'ai beaucoup apprécié, mais je ne l'ai pas retrouvé dans le corps du récit. Il m'est resté hermétique.
Bien-sûr que ce témoignage est important. Bien-sûr que l'écriture de Leonora Miano vaut le détour, mais je n'ai pas été touchée, c'est comme ça. J'ai apprécié que le récit ne soit pas plaintif, mais bien au contraire combatif, mais il m'a manqué de la substance, du corps et de l'âme. Peut-être que c'est la pudeur de l'autrice qui m'a tenu à l'écart, peut-être que c'est le fossé entre la première écriture du récit et sa publication. Je ne sais pas, mais je ne suis pas parvenue à accéder au coeur de ce récit.
Stardust est le 27ème roman de Leonora Miano, mais il s'agirait du « premier roman [qu'elle] a composé » il y a plus de 20 ans. Il s'agit d'un roman autobiographique dans lequel elle raconte la période où elle fut reçue dans un centre d'hébergement d'urgence pour femme du XIXème arrondissement de Paris, alors qu'elle n'avait que 23 ans et qu'elle était devenue récemment maman d'une petite Bliss. Elle retrace donc ses moments d'errance, ainsi que son combat pour obtenir un logement et un travail avec pour ambition de reprendre ses études. le lecteur accède à ses pensées, à sa colère et à sa détermination, mais surtout à l'amour inconditionnel qu'elle éprouve pour sa fille. Pour elle, elle se battra jusqu'au bout, pour elle, elle se sortira de là.
Ce récit est assez solitaire, à l'image de sa narratrice. Les figures extérieures sont très rares à l'exception de quelques femmes dont Louise. Il s'agit de femmes qui ne croient plus en rien, de femmes qui avant d'arriver là, en France ou au centre d'hébergement, avaient une place dans la société avant qu'une chute ne les emporte dans les nimbes de celle-ci.
Je crois que ce qui m'a manqué, c'est la lumière et c'est d'autant plus frustrant puisque j'avais pourtant entrevu cette lumière dans l'avant-propos que j'ai beaucoup apprécié, mais je ne l'ai pas retrouvé dans le corps du récit. Il m'est resté hermétique.
Bien-sûr que ce témoignage est important. Bien-sûr que l'écriture de Leonora Miano vaut le détour, mais je n'ai pas été touchée, c'est comme ça. J'ai apprécié que le récit ne soit pas plaintif, mais bien au contraire combatif, mais il m'a manqué de la substance, du corps et de l'âme. Peut-être que c'est la pudeur de l'autrice qui m'a tenu à l'écart, peut-être que c'est le fossé entre la première écriture du récit et sa publication. Je ne sais pas, mais je ne suis pas parvenue à accéder au coeur de ce récit.
