(...) : si la science n'est pas bonne, c'est qu'elle n'est pas vraie. On ne peut pas saisir les lois de la vie en commençant par les violer. En jetant le trouble, la perturbation dans un organisme, en le perforant, en le mutilant, que croit-on observer si ce n'est un état désordonné, des éléments en désarroi ? On interroge la torture et c'est la douleur qui répond. Comment espère-t-on de cela trouver la vérité ? S'il y a une science qui affirme que la force prime le droit, s'il y a une science qui torture , il faut la placer au rang des fléaux.