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Critique de maltese
On tient ici le premier volume d'une nouvelle série qui s'inscrit dans l'univers d'Hellboy et du B.P.R.D. (Bureau de recherche et de défense sur le paranormal). Une chronologie en fin d'ouvrage permet d'ailleurs de situer chaque aventure des différentes séries.
Mike Mignola a donc créé un nouveau personnage, Edward Grey, surnommé Witchfinder, dessiné par Ben Stenbeck de jolie manière, dans l'esprit des autres albums.
Les aventures prennent place à l'époque victorienne et le héros est célèbre pour avoir sauvé la reine Victoria des griffes de sorcières désireuses de la tuer. Une courte histoire en fin d'album met d'ailleurs en scène cette épisode de la vie du héros.
Tout au long de cette première histoire, Grey va se lancer à la poursuite d'une créature démoniaque avide de sang qui sème la terreur dans les rues de Londres.
Un carnet de croquis et une postface de Mignola permettent de cerner le travail des auteurs et les origines de la série.
Un premier volume qui, s'il n'est pas d'une très grande originalité, se lit avec plaisir pourvu que l'on apprécie les histoires de Mignola, servi à merveille par les traits de Ben Stenbeck.
Edward Grey est à rapprocher, pour ceux qui apprécie le genre, des histoires qui ont pour héros des détectives de l'occulte (lire à ce propos l'étude qui leur est consacrée, notamment, dans le Temps noir n°3, en 2000).
Je tiens à remercier une fois encore Babelio pour cette lecture dans le cadre de l'opération Masse Critique, ainsi que les éditions Delcourt pour l'envoi de l'album, bel objet par ailleurs.
Mike Mignola a donc créé un nouveau personnage, Edward Grey, surnommé Witchfinder, dessiné par Ben Stenbeck de jolie manière, dans l'esprit des autres albums.
Les aventures prennent place à l'époque victorienne et le héros est célèbre pour avoir sauvé la reine Victoria des griffes de sorcières désireuses de la tuer. Une courte histoire en fin d'album met d'ailleurs en scène cette épisode de la vie du héros.
Tout au long de cette première histoire, Grey va se lancer à la poursuite d'une créature démoniaque avide de sang qui sème la terreur dans les rues de Londres.
Un carnet de croquis et une postface de Mignola permettent de cerner le travail des auteurs et les origines de la série.
Un premier volume qui, s'il n'est pas d'une très grande originalité, se lit avec plaisir pourvu que l'on apprécie les histoires de Mignola, servi à merveille par les traits de Ben Stenbeck.
Edward Grey est à rapprocher, pour ceux qui apprécie le genre, des histoires qui ont pour héros des détectives de l'occulte (lire à ce propos l'étude qui leur est consacrée, notamment, dans le Temps noir n°3, en 2000).
Je tiens à remercier une fois encore Babelio pour cette lecture dans le cadre de l'opération Masse Critique, ainsi que les éditions Delcourt pour l'envoi de l'album, bel objet par ailleurs.
