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Critique de Stockard
M'ouais m'ouais m'ouais... Suis un peu partagée sur cette BD. Pas le genre qui nous fera relever la nuit mais en même temps, si je veux être un peu honnête (tout p'tit peu) je peux pas dire que j'ai passé un mauvais moment non plus à suivre les aventures de Jodie Christianson.
Oh mais dites donc, ce nom de famille... il est plutôt rigolo quand après avoir pris un 38 tonnes en pleine poire et s'en être sorti sans même un sourcil arraché, ledit Jodie se rend compte inopinément que si ça se trouve, éventuellement, sans vouloir agacer personne, il dit ça il dit rien, il serait peut-être le fils de Dieu.
Passons donc sur les fréquentations apparemment plus que douteuses de sa maman et venons-en aux expériences qui tendraient à prouver que ses élucubrations ne viendraient pas d'un vieux reste d'intraveineuse ramené son séjour à l'hôpital.
Mais non, voilà l'eau qui se change en vin (pour la fine napoléon, faut demander mais c'est plus cher), le têtard à hublot du coin qu'a soudain plus besoin de ses culs-de-bouteille, les traumatisés qui remarchent et autres morts qui reviennent (pour avoir la vraie recette de ce tour de passe passe super sympa à exécuter en famille, voir Simetierre de Stephen King). Donc le gamin s'était pas planté, il a bien des dons...
Il y a juste sur un petit détail qu'il a fait une erreur (le suspens étant à son comble, je n'en dirai pas plus). Mark Millar en profite d'ailleurs pour nous coller deux twists finaux (alors, qui a dit qu'on était pas gâtés ? Hein ?) qui à titre personnel m'ont bien fait marrer, les avais pas vu venir.
En bref, assez sympa, sans plus, vite lu mais malheureusement tout aussi vite oublié.
Oh mais dites donc, ce nom de famille... il est plutôt rigolo quand après avoir pris un 38 tonnes en pleine poire et s'en être sorti sans même un sourcil arraché, ledit Jodie se rend compte inopinément que si ça se trouve, éventuellement, sans vouloir agacer personne, il dit ça il dit rien, il serait peut-être le fils de Dieu.
Passons donc sur les fréquentations apparemment plus que douteuses de sa maman et venons-en aux expériences qui tendraient à prouver que ses élucubrations ne viendraient pas d'un vieux reste d'intraveineuse ramené son séjour à l'hôpital.
Mais non, voilà l'eau qui se change en vin (pour la fine napoléon, faut demander mais c'est plus cher), le têtard à hublot du coin qu'a soudain plus besoin de ses culs-de-bouteille, les traumatisés qui remarchent et autres morts qui reviennent (pour avoir la vraie recette de ce tour de passe passe super sympa à exécuter en famille, voir Simetierre de Stephen King). Donc le gamin s'était pas planté, il a bien des dons...
Il y a juste sur un petit détail qu'il a fait une erreur (le suspens étant à son comble, je n'en dirai pas plus). Mark Millar en profite d'ailleurs pour nous coller deux twists finaux (alors, qui a dit qu'on était pas gâtés ? Hein ?) qui à titre personnel m'ont bien fait marrer, les avais pas vu venir.
En bref, assez sympa, sans plus, vite lu mais malheureusement tout aussi vite oublié.
