Curieux petit conte poétique. On suit le clown Auguste dans ses interrogations existentielles. Questionnement sur son metier de clown. On est sur la ligne entre le merveilleux et le fantastique. Pour moi, il manque tout de même une certaine profondeur. le recit aurait gagné à être plus étoffé, plus approfondi. Mais Miller nous dit qu'il l'a ecrit pour accompagner une série d'illustrations de Fernand Léger. Donc, à prendre pour ce que c'est.
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