Pour un premier roman c'est ambitieux, peut-être trop. Trop de détails, trop de dialogues, trop de contenu. La magie chinoise, amérindienne et irlandaise se côtoient, c'est un peu beaucoup.
L'écriture n'a pas grand intérêt, beaucoup de clichés, de répétitions, des ressorts téléphonés. Pourtant le postulat de départ est intéressant: le mélange des magies pour indiquer que le métissage apporte du beau et du bon dans une société, et que le dialogue des cultures est indispensable. Mais c'est trop long et un peu mièvre.
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