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Critique de Gaoulette
Une étoile et encore je me trouve généreuse… Mais le dernier chapitre a attisé ma curiosité. J'aurais peut-être un jour envie de lire la suite.
Alors je suis une fan de romances érotiques. Encore plus si on me vend du rêve et suspense. Et puis quand ton auteure fétiche écrit que c'est de la bombe tu lui fais confiance….
Au bout de 5 chapitres je sentais la grosse désillusion. L'auteure accumule les clichés qui font mal aux yeux. J'en ai fini ce gros pavés juste pour l'intégrer dans un challenge Babelio. Et puis peut-être lui laisser sa chance.
Qu'ai-je détesté? En premier : Ethan. Il sonne faux du début jusqu'à la fin. Il est où le mâle alpha, le bonhomme viril, le fantasme sur patte. le mec a 32 ans et on dirait un adolescent à peine prépubère en rut. le mec est riche soit disant distingué et il ne sait pas parler. Non mais c'est quoi ces répliques à deux balles. C'est le pire fantasme qu'ait pu proposer un auteur new adult. Il est en loin cohérent avec son statut social, son âge et sa profession. Il m'a fait hurler de rire au lieu de plaisir. le cliché de base : le mec qui recherche le peau à peau absolument en moins de deux jours. Un scandale pour une auteure romance d'enlever le Préservatif. Sachant que la scène en elle même est glauque. Certes c'est une fiction mais l'auteure parle de MST. J'ai dû louper un épisode…
Je continue dans les clichés barbants. En deux temps trois mouvement c'est le big love. Et patatras en une semaine le drame…. On est à la moitié du roman et on enchaine avec la voix désespérée d'Ethan. Je dirais plutôt gnangnan. L'auteure ne propose rien dans son premier tome à part une succession de scène de sexe. Même pas un filet de suspense alors qu'elle nous vendait du rêve. Un premier tome qui met en place ses héros qui ne pensent qu'à copuler et en plus le langage est limite. Je ne compte même plus le mot chatte et foutre…
Parlons un peu de Brynne. Elle aurait pu être le point fort. J'y ai cru mais son côté soumise trop vite me laisse perplexe. Un côté elle se rebelle comme une gamine qui ne cadre pas à la psychologie du personnage. Aucune maitrise de l'auteur pour faire un portrait cohérent.
Ma Coho est fan. Je pense plutôt qu'elle a voulu être gentille. Raine Miller est loin d'avoir ses qualités livresques. Un mélange de Christian Grey et Gideon Cross mais en bas de gamme. Moi je cherche l'excellence...
Alors je suis une fan de romances érotiques. Encore plus si on me vend du rêve et suspense. Et puis quand ton auteure fétiche écrit que c'est de la bombe tu lui fais confiance….
Au bout de 5 chapitres je sentais la grosse désillusion. L'auteure accumule les clichés qui font mal aux yeux. J'en ai fini ce gros pavés juste pour l'intégrer dans un challenge Babelio. Et puis peut-être lui laisser sa chance.
Qu'ai-je détesté? En premier : Ethan. Il sonne faux du début jusqu'à la fin. Il est où le mâle alpha, le bonhomme viril, le fantasme sur patte. le mec a 32 ans et on dirait un adolescent à peine prépubère en rut. le mec est riche soit disant distingué et il ne sait pas parler. Non mais c'est quoi ces répliques à deux balles. C'est le pire fantasme qu'ait pu proposer un auteur new adult. Il est en loin cohérent avec son statut social, son âge et sa profession. Il m'a fait hurler de rire au lieu de plaisir. le cliché de base : le mec qui recherche le peau à peau absolument en moins de deux jours. Un scandale pour une auteure romance d'enlever le Préservatif. Sachant que la scène en elle même est glauque. Certes c'est une fiction mais l'auteure parle de MST. J'ai dû louper un épisode…
Je continue dans les clichés barbants. En deux temps trois mouvement c'est le big love. Et patatras en une semaine le drame…. On est à la moitié du roman et on enchaine avec la voix désespérée d'Ethan. Je dirais plutôt gnangnan. L'auteure ne propose rien dans son premier tome à part une succession de scène de sexe. Même pas un filet de suspense alors qu'elle nous vendait du rêve. Un premier tome qui met en place ses héros qui ne pensent qu'à copuler et en plus le langage est limite. Je ne compte même plus le mot chatte et foutre…
Parlons un peu de Brynne. Elle aurait pu être le point fort. J'y ai cru mais son côté soumise trop vite me laisse perplexe. Un côté elle se rebelle comme une gamine qui ne cadre pas à la psychologie du personnage. Aucune maitrise de l'auteur pour faire un portrait cohérent.
Ma Coho est fan. Je pense plutôt qu'elle a voulu être gentille. Raine Miller est loin d'avoir ses qualités livresques. Un mélange de Christian Grey et Gideon Cross mais en bas de gamme. Moi je cherche l'excellence...
