Nous retrouvons dans ce dernier tome les personnages de Comment rêvent le morts et de
Lumières fantômes, et cette fois-ci l'auteure s'intéresse principalement à Susan. Elle vient de perdre son mari Hal et hérite d'un oncle une maison de style musée où les chambres portent le nom d'un continent. le tout est peuplé d'animaux sauvages empaillés. Au lieu de la vendre, elle décide de la garder et d'y aménager. de son statut de femme infidèle mais aimant son mari, elle a une liaison avec un avocat marié. Sa fille Casey qui n' a jamais sa langue dans sa poche semble avoir trouvé l'amour. Et par une série d'évènements, elle a pour compagnie des vieilles dames qui semblent apprécier vivre dans sa nouvelle maison.
L'écriture de
Lydia Millet nous entraîne sur des réflexions et des questions sur la mort, le deuil, la vieillesse, l'amour et le bonheur. Et c'est réussi !
L'auteure est toujours aussi proche de ses personnages ( c'est ce j'aime chez elle). Je vous conseille vivement de lire cette trilogie.
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http://claraetlesmots.blogsp.. Commenter  J’apprécie         10