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Critique de marie504
Le cercle est le premier livre de Bernard Minier que j'ai l'occasion de lire.
L'enquête menée par Martin Servaz se déroule à Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, dans laquelle une jeune prof de Khâgne vient d'être assassinée. Tout au long du livre, il sera question de la précédente enquête de Martin, où il aura eu affaire à un tueur en série, Julian Hirtmann. Les deux enquêtes vont se retrouver entremêlées, sans pour autant que la lecture de ce livre soit gênée si l'on n'a pas encore lu glacé.
Martin va être appelé par une ancienne compagne dont le fils, Hugo, vient d'être retrouvé drogué dans la maison de sa prof de français assassinée sauvagement et gisant au fond de sa baignoire. Une mise en scène compliquée, poupées flottant dans la piscine, CD de Mahler dans le lecteur de CD, va susciter plein d'interrogations. Plusieurs histoires vont interagir les unes avec les autres, les unes remontant à plusieurs années en arrière, les autres étant plus récentes. On en apprendra plus sur la vie de Martin Servaz, mais aussi sur celle de ses collaborateurs, comme Ziegler, Esperandieu ou encore Samira Cheung. La fille de Servaz, Margot, elle-même en khâgne à Marsac, se retrouvera impliquée dans l'enquête, car en lien direct avec plusieurs protagonistes.
Tout au long du livre, il sera également question d'une femme séquestrée, à la merci d'un bourreau. On ne connaitra qu'à la fin l'identité de cette femme.
Il est difficile de parler du livre sans trop en dire. Je vais donc m'arrêter là. Ayant beaucoup apprécié cette lecture, je ne devrais pas tarder à m'attaquer à glacé.
L'enquête menée par Martin Servaz se déroule à Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest, dans laquelle une jeune prof de Khâgne vient d'être assassinée. Tout au long du livre, il sera question de la précédente enquête de Martin, où il aura eu affaire à un tueur en série, Julian Hirtmann. Les deux enquêtes vont se retrouver entremêlées, sans pour autant que la lecture de ce livre soit gênée si l'on n'a pas encore lu glacé.
Martin va être appelé par une ancienne compagne dont le fils, Hugo, vient d'être retrouvé drogué dans la maison de sa prof de français assassinée sauvagement et gisant au fond de sa baignoire. Une mise en scène compliquée, poupées flottant dans la piscine, CD de Mahler dans le lecteur de CD, va susciter plein d'interrogations. Plusieurs histoires vont interagir les unes avec les autres, les unes remontant à plusieurs années en arrière, les autres étant plus récentes. On en apprendra plus sur la vie de Martin Servaz, mais aussi sur celle de ses collaborateurs, comme Ziegler, Esperandieu ou encore Samira Cheung. La fille de Servaz, Margot, elle-même en khâgne à Marsac, se retrouvera impliquée dans l'enquête, car en lien direct avec plusieurs protagonistes.
Tout au long du livre, il sera également question d'une femme séquestrée, à la merci d'un bourreau. On ne connaitra qu'à la fin l'identité de cette femme.
Il est difficile de parler du livre sans trop en dire. Je vais donc m'arrêter là. Ayant beaucoup apprécié cette lecture, je ne devrais pas tarder à m'attaquer à glacé.
