C'est assurément bien écrit, bien traduit aussi, et très emphatique pour ces trois femmes qui sont amenées à croiser la route de Guil l'avocat.
C'est assez justement analysé sur le plan de la psychologie féminine aussi.
Mais est-ce crédible ? Quels sont les ressorts humains ou existentiels du prédateur que, dès le quatrième de couverture, il nous est dit, que l'auteur va nous conter l'histoire ? Pourquoi agit-il ainsi ?
Je suis restée sur ma faim et en ressors avec un avis mitigé.
Merci à Gallimard de m'avoir donné l'occasion de me faire découvrir un auteur israélien que je ne connaissais pas encore. Mais on est loin du talent de Oz ou de Shalev. A mon humble avis.
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