Recueil de deux nouvelles des débuts du genre
Science-fiction au XIXème siècle, j'ai eu une légère préférence pour la première «L'homme le plus doué du monde» dans la lignée d'un Frankenstein. J'essaie d'imaginer l'état d'esprit à sa parution, cela devait être vraiment révolutionnaire, effrayant d'imaginer un homme équipé de machineries complexes et cette peur guide d'ailleurs le dénouement.
J'ai moins aimé la deuxième nouvelle du français Delecluze, un peu moins «steampunk» mais beaucoup plus émouvante, le genie de Michel ne le protégeant pas des coups durs.
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