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Critique de LiliGalipette


Monsieur Iwa tient une librairie de livres d'occasion dans la ville de Tanabe. Son petit-fils, le jeune Minoru, lui prête main forte le week-end. le vieux Iwa est doté d'un gros bon sens et d'un esprit de déduction assez poussé. Il est un peu le justicier des environs et il résout les mystères qui entourent des corps calcinés dans un abri antiatomique, des meurtres qui ressemblent à l'intrigue d'un roman ou le malheur d'un enfant battu.

Au sens étymologique, le policier est celui qui fait appliquer l'ordre et maintient le calme dans la cité. Monsieur Iwa est de cette trempe, même s'il ne sort pas souvent de sa boutique et qu'il passe beaucoup de temps à réprimander son petit-fils. Je n'ai pas vraiment apprécié ce recueil. Une nouvelle doit être concise, c'est-à-dire courte et condensée. Pour moi, ces récits ne sont que courts, voire sans profondeur. Et ce qui m'a surtout gênée, c'est une certaine idée selon laquelle les livres sont coupables. Ils sont au centre de toutes les intrigues et ils provoquent les malheurs. Pour moi, le livre est source de réconfort et d'épanouissement. Je suis donc opposée à l'esprit général de ce recueil.

Et, comme souvent, j'ai bien du mal à entrer dans les textes asiatiques. En premier lieu, je me mélange les yeux avec tous ces noms étrangers. Ensuite, c'est clairement une culture que je ne maîtrise pas : elle m'intéresse, mais je n'arrive pas à la cerner au travers des livres.
C'est donc une lecture ratée. J'espère qu'elle plaira davantage à mes copines du club de lecture. Mais certaines ne sont pas sensibles au genre policier et d'autres apprécient peu le format de la nouvelle.
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