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Critique de Alittlepieceof
Teru Miyamoto est un auteur que j'ai découvert en lisant "Les gens de la rue des rêves" que j'avais beaucoup aimé. J'aime son style, très doux et poétique.
Le brocart est un roman épistolaire. Je me rends compte que c'est un style que j'apprécie énormement.
Ici l'échange de lettre a lieu entre un homme et une femme ex époux, divorcés depuis 10 ans.
Après s'être croisés totalement par hasard, Aki décide d'écrire à cet homme qui fût son ex mari. Il lui répond et s'en suit entre eux un long échange de courrier qui permettra à chacun d'entre eux de s'expliquer sur les raisons de leur séparations, de faire le point sur leur vie actuelle et passée.
J'ai eu beaucoup de mal avec les premières pages. La première lettre écrit par Aki m'a vraiment déconcertée. Sa façon de parler, trop polie, trop empruntée m'a vraiment déplue.
Le vouvoiement qu'utilisent les personnages aussi m'a un peu dérangée au départ. J'aurais du mal à vouvoyer un de mes ex ! Pourtant ce choix n'est pas anodin et dénote tout à fait du respect que s'imposent entre eux les japonais.
Le divorce est encore quelque chose d'assez déshonorant en Asie et les situations qui ont poussé ces deux époux à se séparer encore plus.
Certains passages m'ont réellement captivés et d'autres m'ont semblés beaucoup trop longs et sans grand intérêt. Ils permettent toutefois de plonger dans l'esprit des personnages, de comprendre leur blessure, leur secret, leur attente.
Ce que j'ai préféré c'est le récit d'Aki concernant un café près de chez elle. le Café Mozart où n'est diffusé que la musique de Wolfgang Amadeus. Je me suis mise à imaginer ce café, à le rêver, à me rêver à l'intérieur. J'aimerais beaucoup qu'un tel café existe.
En dehors de cela c'est principalement sur les sentiments des personnages qu'est basée l'histoire.
Un roman en demi teinte qui est loin de m'avoir autant séduit que les gens de la rue des rêves.
Lien : http://bouquetdebamboo.over-..
Le brocart est un roman épistolaire. Je me rends compte que c'est un style que j'apprécie énormement.
Ici l'échange de lettre a lieu entre un homme et une femme ex époux, divorcés depuis 10 ans.
Après s'être croisés totalement par hasard, Aki décide d'écrire à cet homme qui fût son ex mari. Il lui répond et s'en suit entre eux un long échange de courrier qui permettra à chacun d'entre eux de s'expliquer sur les raisons de leur séparations, de faire le point sur leur vie actuelle et passée.
J'ai eu beaucoup de mal avec les premières pages. La première lettre écrit par Aki m'a vraiment déconcertée. Sa façon de parler, trop polie, trop empruntée m'a vraiment déplue.
Le vouvoiement qu'utilisent les personnages aussi m'a un peu dérangée au départ. J'aurais du mal à vouvoyer un de mes ex ! Pourtant ce choix n'est pas anodin et dénote tout à fait du respect que s'imposent entre eux les japonais.
Le divorce est encore quelque chose d'assez déshonorant en Asie et les situations qui ont poussé ces deux époux à se séparer encore plus.
Certains passages m'ont réellement captivés et d'autres m'ont semblés beaucoup trop longs et sans grand intérêt. Ils permettent toutefois de plonger dans l'esprit des personnages, de comprendre leur blessure, leur secret, leur attente.
Ce que j'ai préféré c'est le récit d'Aki concernant un café près de chez elle. le Café Mozart où n'est diffusé que la musique de Wolfgang Amadeus. Je me suis mise à imaginer ce café, à le rêver, à me rêver à l'intérieur. J'aimerais beaucoup qu'un tel café existe.
En dehors de cela c'est principalement sur les sentiments des personnages qu'est basée l'histoire.
Un roman en demi teinte qui est loin de m'avoir autant séduit que les gens de la rue des rêves.
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