>
Critique de Masa
Tenkū no shiro Rapyuta – tome 1
« Le château dans le ciel » est mon animé préféré du Sensei Hayao Miyazaki. C'était presque une obligation que de me procurer les story board en manga. Les éditions Glénat – à qui l'on doit également la série « Nausicaä de la vallée du vent » –se sont collés à ce portage. le format est de poche et le tout colorisé.
Autant vous le dire tout de suite, mon avis risque de ne pas être objectif. Laputa représente pour moi, un rêve.
Une jeune demoiselle au nom de Sheeta est emprisonné dans un aéronef. Durant la nuit, une bande de pirates vient accoster le vaisseau. Sheeta parvint à s'échapper. C'est un garçon – Pazu – qui va la découvrir. Cet orphelin a été recueilli dans un village minier.
C'est lors d'un voyage en Pays de Galles que Hayao Miyazaki fut frappé par le militantisme des mineurs voulant conserver leur emploi. C'est pour cela qu'il a décidé que son héros soit issu de cette classe sociale et montrer la solidarité entre ses membres.
Si j'ai été aussi émerveillé par ce magnifique film d'animation, c'est grâce à une alchimie parfaite de poésie, de qualité narrative et graphique, mais aussi par l'excellente musique du compositeur Joe Hisaishi. Je me remémore les notes magistrales lorsque Pazu réveille tout le village grâce à sa trompette (je vous laisse au passage l'interprétation de Tim Morrisson, véritable virtuose : https://www.youtube.com/watch?v=5Kx_abMNCeI ).
Ce manga est destiné avant tout aux adorateurs du film, car il s'agit d'un simple portage. Une déception, peut-être, mais surtout un plaisir de retrouver Patzu et Sheeta. On y trouvera également les ingrédients qu'aiment Hayao Miyazaki, à savoir les engins volants, l'injustice (souvent lié à la guerre), des dangers des technologies moderne.
« Le château dans le ciel » est mon animé préféré du Sensei Hayao Miyazaki. C'était presque une obligation que de me procurer les story board en manga. Les éditions Glénat – à qui l'on doit également la série « Nausicaä de la vallée du vent » –se sont collés à ce portage. le format est de poche et le tout colorisé.
Autant vous le dire tout de suite, mon avis risque de ne pas être objectif. Laputa représente pour moi, un rêve.
Une jeune demoiselle au nom de Sheeta est emprisonné dans un aéronef. Durant la nuit, une bande de pirates vient accoster le vaisseau. Sheeta parvint à s'échapper. C'est un garçon – Pazu – qui va la découvrir. Cet orphelin a été recueilli dans un village minier.
C'est lors d'un voyage en Pays de Galles que Hayao Miyazaki fut frappé par le militantisme des mineurs voulant conserver leur emploi. C'est pour cela qu'il a décidé que son héros soit issu de cette classe sociale et montrer la solidarité entre ses membres.
Si j'ai été aussi émerveillé par ce magnifique film d'animation, c'est grâce à une alchimie parfaite de poésie, de qualité narrative et graphique, mais aussi par l'excellente musique du compositeur Joe Hisaishi. Je me remémore les notes magistrales lorsque Pazu réveille tout le village grâce à sa trompette (je vous laisse au passage l'interprétation de Tim Morrisson, véritable virtuose : https://www.youtube.com/watch?v=5Kx_abMNCeI ).
Ce manga est destiné avant tout aux adorateurs du film, car il s'agit d'un simple portage. Une déception, peut-être, mais surtout un plaisir de retrouver Patzu et Sheeta. On y trouvera également les ingrédients qu'aiment Hayao Miyazaki, à savoir les engins volants, l'injustice (souvent lié à la guerre), des dangers des technologies moderne.
