Voilà, c'est fini.
Non ce n'est pas Jean-Louis
Aubert qui parle ou chante. C'est bien l'homme qui écrit sous le pseudonyme de Vieuchamp qui vient d'achever cette saga en huit volumes, et qui au départ ne pensait pas vraiment aller très loin dans cette oeuvre magistrale de
Vilhelm Moberg.
Non, je ne me suis jamais ennuyé dans cette "saga des émigrants". C'est écrit de telle façon que tout est fluide, simple à lire, jamais rébarbatif, et ces huit tomes s'avalent sans soucis, et l'on se dit à la fin que c'est dommage que ça soit fini.
Dernier opus, les indiens se révoltent, c'est la guerre, les enfants grandissent, Christina est (encore) enceinte, Karl-Oskar ressent le poids des années et de dur labeur. Les lettres au pays natal se suivent jusqu'à la toute dernière.
Un seul mot pour tout dire: Génial.
Du grand art à lire sans modération.
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