Pour les 350 ans de la disparition de
Molière, j'ai voulu relire
le malade imaginaire, sa dernière pièce, qu'il joua malade avant de mourir, et je n'ai pas regretté.
C'est avec plaisir que j'ai retrouvé Argan l'hypocondriaque et sa femme intéressée Béline, entourés des amants Angélique et Cléante, tentant de faire échec au projet de mariage avec le médecin Thomas Diafoirus.
Malgré les années, la pièce conserve un humour et une ironie légère qui restent actuels (à l'exception des intermèdes, que l'on peut passer ...).
Le sourire aux lèvres vient facilement et sans peine.
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