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Critique de Vivrelivre
Oubliez les glorieuses épopées, le Royaume de Pendragon est à l'image de son souverain, Arthur: sale, triste, et pauvre
Et quoiqu'en dise son père le Roi, Ysabelle refuse de se marier avec le petit et prétentieux Baron de Cumbre
Elle s'enfuit en direction d'Orélia, à la recherche de sa grande soeur Maxine. Elle s'est trouvée une alliée de taille avec Excalibur, cette épée dotée de parole, dont les motivations semblent aussi légitimes que les siennes... Leurs deux caractères font des étincelles et les réparties bien senties fusent (et nous régalent) Jusqu'à ce que les divergences pointent...
Les deux auteurs s'emparent du mythe arthurien pour lui conférer une dimension féministe bien sentie, décalée et si peu consensuelle... du fait d'un phrasé très contemporain et surtout de dessins très particuliers. S'ils collent très bien à l'atmosphère, ils m'ont rebutée tout du long.
La quête identitaire et de libération d'Ysabelle est parsemée de clins d'oeil (j'aime), d'une réflexion quant au pouvoir et aux apparences, mais qui m'a donné une impression de déjà-vu. Soit.
Mais un aspect m'a dérangée
J'en parle dans ma chronique sur mon blog
Un roman graphique que j'ai apprécié, sans plus
Lien : https://vivrelivre19.over-bl..
Et quoiqu'en dise son père le Roi, Ysabelle refuse de se marier avec le petit et prétentieux Baron de Cumbre
Elle s'enfuit en direction d'Orélia, à la recherche de sa grande soeur Maxine. Elle s'est trouvée une alliée de taille avec Excalibur, cette épée dotée de parole, dont les motivations semblent aussi légitimes que les siennes... Leurs deux caractères font des étincelles et les réparties bien senties fusent (et nous régalent) Jusqu'à ce que les divergences pointent...
Les deux auteurs s'emparent du mythe arthurien pour lui conférer une dimension féministe bien sentie, décalée et si peu consensuelle... du fait d'un phrasé très contemporain et surtout de dessins très particuliers. S'ils collent très bien à l'atmosphère, ils m'ont rebutée tout du long.
La quête identitaire et de libération d'Ysabelle est parsemée de clins d'oeil (j'aime), d'une réflexion quant au pouvoir et aux apparences, mais qui m'a donné une impression de déjà-vu. Soit.
Mais un aspect m'a dérangée
J'en parle dans ma chronique sur mon blog
Un roman graphique que j'ai apprécié, sans plus
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