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Critique de secondo
Texte intime, touchant et vibrant en hommage à ses fantômes, Isabelle Monin laisse couler les mots de ces larmes d'encre.
Comment ne pas être toucher, au coeur, aux sentiments, aux émotions, comment ne pas s'identifier, faire pareil avec chacun nos fantômes et respirer leur odeur de passé, du passé.
L'écriture est juste comme une époque qui n'en finit pas de livrer ses parfums vintages, les années 70, 80, ses allures presque vintages de 90, et son passé de rétroviseur pour les années 2000 et plus près encore.
On aime le socialisme-communisme comme religion de remplacement et comme humanisme à toute épreuve du temps.
On aime aussi Renaud, chanteur énervant qui suit les évènements comme un grand frère qui boit trop, qui chante le temps qui passe tout tordu et les douleurs dont il faut se moquer un p'tit peu quand même.
Comment ne pas être toucher, au coeur, aux sentiments, aux émotions, comment ne pas s'identifier, faire pareil avec chacun nos fantômes et respirer leur odeur de passé, du passé.
L'écriture est juste comme une époque qui n'en finit pas de livrer ses parfums vintages, les années 70, 80, ses allures presque vintages de 90, et son passé de rétroviseur pour les années 2000 et plus près encore.
On aime le socialisme-communisme comme religion de remplacement et comme humanisme à toute épreuve du temps.
On aime aussi Renaud, chanteur énervant qui suit les évènements comme un grand frère qui boit trop, qui chante le temps qui passe tout tordu et les douleurs dont il faut se moquer un p'tit peu quand même.
