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Critique de capillo
Rien de nouveau sous le soleil, ou plutôt la pluie, de Philadelphie et de la thématique du tueur en série. On nage en eaux connues, fort d'une longue lignée de références plus ou moins connues, littéraires et/ou cinématographiques.
L'aspect religieux évoque Se7en, et une tripotée d'autres oeuvres qui sont passées par là avec plus ou moins de bonheur. le duo de flics, l'un vieux briscard aux méthodes douteuses l'autre recrue, tous deux en souffrance familiale, s'inscrit dans une longue tradition qui échappe à la caricature grâce à une caractérisation minimaliste mais efficace.
Efficace. C'est le mot qui reste, à défaut d'intelligent ou inédit. L'écriture est certes sans signature, sans style véritable, se fond dans un cadre très défini, mais la structure parvient à nous manipuler, se jouant de nous avec ses fausses pistes successives jusqu'à un final aussi décevant que malin.
Pas de quoi se retourner le cerveau, Déviances assure le minimum pour une lecture sans surprise mais aussi sans déplaisir.
L'aspect religieux évoque Se7en, et une tripotée d'autres oeuvres qui sont passées par là avec plus ou moins de bonheur. le duo de flics, l'un vieux briscard aux méthodes douteuses l'autre recrue, tous deux en souffrance familiale, s'inscrit dans une longue tradition qui échappe à la caricature grâce à une caractérisation minimaliste mais efficace.
Efficace. C'est le mot qui reste, à défaut d'intelligent ou inédit. L'écriture est certes sans signature, sans style véritable, se fond dans un cadre très défini, mais la structure parvient à nous manipuler, se jouant de nous avec ses fausses pistes successives jusqu'à un final aussi décevant que malin.
Pas de quoi se retourner le cerveau, Déviances assure le minimum pour une lecture sans surprise mais aussi sans déplaisir.
