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Critique de cleophas35


La douceur est la principale héroïne de ce roman d'Etienne de Montety, qui porte bien son titre.
Le roman s'articule autour de la figure centrale de May de Caux, résistante, déportée à Ravensbrück, devenue dans les années 1990 présidente de la convention internationale de la rose. Pour se reconstruire, May a tiré un trait sur un passé dont elle ne parle jamais.
La rose, fleur de la douceur a aidé May à survivre. C'est par la douceur que le narrateur va pénètre à May de témoigner. Par la douceur aussi qu'il va parvenir à apprivoiser Barbara, une journaliste allemande, malgrè une prise de contact plutôt ratée et sans douceur.
Le pari de Montety était osé : aborder le thème de la guerre et des camps par celui de la douceur. Mais l'objectif est atteint; l'auteur remet la douceur au nombre des valeurs qui méritent d'être respectées dans un monde qui ne lui fait guère de place.
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