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Critique de SoWond
Pour célébrer le centième anniversaire de cette série, j'ai décidé de me remettre à leur lecture, plus de vingt ans après ma première rencontre avec Émilie Byrd Starr!
Je me suis rendu compte en débutant ce dernier tome que je ne l'avais jamais lu. J'ai dû m'arrêter au 3e à ma première lecture il y a 20 ans. Je suis donc bien heureuse de enfin connaitre le dénouement de cette série, mais en même temps j'ai trouvé ce 4e roman bien pénible comparés au 3 autres.
Émilie ne semble plus être celle qu'on avait appris à connaitre dans les tomes précédents. Par moment, elle ne prend plus aucune décision et semble subir sa vie plutôt que de la menée comme elle l'avait fait jusque-là.
Elle est tellement passive dans ses relations avec Dean et Teddy qu'on aurait envie de la secouer un peu.
Le mariage et la vie privée de Lucy Maud Montgomery ont été orageuse et triste. Si l'auteure a choisi de planter la majorité des décors de ses romans à l'Île-du-Prince-Édouard, c'est qu'elle-même se languissait de son ile natale. Ses biographies racontent qu'elle a été très malheureuse dans sa vie de famille en Ontario et qu'elle a toujours regretté d'avoir quitté l'Île. Je crois que tout ça transparait dans la série Émilie. L'Île y est idyllique et ses paysages sont glorifiés par l'auteure. On sent la nostalgie et le regret dans plusieurs passages.
Lucy comme Émilie ont refusé les demandes en mariage de nombreux prétendants, Émilie attendait son grand amour et Lucy s'est mariée par dépit avec un homme violent et soufrant de problème de santé mentale. Émilie a donc fait se que Lucy regrettait de ne pas avoir fait, attendre un homme dont elle est réellement amoureuse pour ne pas être malheureuse le restant de sa vie. Il parait qu'Émilie était l'héroïne la plus semblable à Lucy il n'est donc pas étonnant que l'auteur lui ait réservée cette finale.
Je me suis rendu compte en débutant ce dernier tome que je ne l'avais jamais lu. J'ai dû m'arrêter au 3e à ma première lecture il y a 20 ans. Je suis donc bien heureuse de enfin connaitre le dénouement de cette série, mais en même temps j'ai trouvé ce 4e roman bien pénible comparés au 3 autres.
Émilie ne semble plus être celle qu'on avait appris à connaitre dans les tomes précédents. Par moment, elle ne prend plus aucune décision et semble subir sa vie plutôt que de la menée comme elle l'avait fait jusque-là.
Elle est tellement passive dans ses relations avec Dean et Teddy qu'on aurait envie de la secouer un peu.
Le mariage et la vie privée de Lucy Maud Montgomery ont été orageuse et triste. Si l'auteure a choisi de planter la majorité des décors de ses romans à l'Île-du-Prince-Édouard, c'est qu'elle-même se languissait de son ile natale. Ses biographies racontent qu'elle a été très malheureuse dans sa vie de famille en Ontario et qu'elle a toujours regretté d'avoir quitté l'Île. Je crois que tout ça transparait dans la série Émilie. L'Île y est idyllique et ses paysages sont glorifiés par l'auteure. On sent la nostalgie et le regret dans plusieurs passages.
Lucy comme Émilie ont refusé les demandes en mariage de nombreux prétendants, Émilie attendait son grand amour et Lucy s'est mariée par dépit avec un homme violent et soufrant de problème de santé mentale. Émilie a donc fait se que Lucy regrettait de ne pas avoir fait, attendre un homme dont elle est réellement amoureuse pour ne pas être malheureuse le restant de sa vie. Il parait qu'Émilie était l'héroïne la plus semblable à Lucy il n'est donc pas étonnant que l'auteur lui ait réservée cette finale.
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