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Critique de Monsieur-L-
À se fier aux critiques littéraires de quelques férus de fantasy, Elric était censé être l'antihéros par excellence. Au final, je trouve qu'il n'est simplement pas un Conan ou quelconque guerrier viril un peu trop caricatural. Évidemment, c'est une chose positive,mais ... le personnage d'Elric n'est pas pour autant ...comment dire... attachant ou crédible.
De plus, le personnage d'Elric semble un peu trop détaché de sa culture d'origine. Sociologiquement, un détachement aussi fort est assez peu possible.
Au-delà du personnage, l'action du livre me semble un peu précipitée et mal écrite. Une fuite en avant où on ne veut pas prendre le temps de respirer. Pour moi, ça soulève un manque de talent. On enchaîne les moments d'action, on saute d'un point à l'autre à une vitesse vertigineuse. C'est un peu comme si l'auteur avait un plan d'écriture avec les grands moments du livre, mais au moment de l'écriture, il a été incapable de combler les trous entre ses grands moments. Ainsi, il se retrouve à sauter d'un moment à l'autre. En d'autres termes, la lecture du roman nous fait sentir une écriture impatiente.
En résumé, c'est un Harlequin de fantasy. Vite fait, mal fait.
De plus, le personnage d'Elric semble un peu trop détaché de sa culture d'origine. Sociologiquement, un détachement aussi fort est assez peu possible.
Au-delà du personnage, l'action du livre me semble un peu précipitée et mal écrite. Une fuite en avant où on ne veut pas prendre le temps de respirer. Pour moi, ça soulève un manque de talent. On enchaîne les moments d'action, on saute d'un point à l'autre à une vitesse vertigineuse. C'est un peu comme si l'auteur avait un plan d'écriture avec les grands moments du livre, mais au moment de l'écriture, il a été incapable de combler les trous entre ses grands moments. Ainsi, il se retrouve à sauter d'un moment à l'autre. En d'autres termes, la lecture du roman nous fait sentir une écriture impatiente.
En résumé, c'est un Harlequin de fantasy. Vite fait, mal fait.
