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Critique de Davalian
Le Challenge ABC Critiques 2014-2015 (lettre M) m'offre l'occasion de lire ce beau livre édité lors du cinquantième anniversaire du célèbre espion. Qui dit beau livre, dit grand format, peu de texte et beaucoup de photos dont quelques-unes non issues des films. le prix à sa sortie est toutefois quelque peu injustifié pour un Petit plaisir qui va peiner à trouver son public.
Les adeptes vont être fortement déçus car il n'y a pas vraiment de nouveautés dévoilées ici alors que l'on aurait pu s'attendre à avoir un bel aperçu des légendaires plaisanteries réalisées par Roger Moore sur ces différents tournages. de fait, celles-ci font l'objet de quelques anecdotes trop rare. Un mythe est toutefois éventé : Moore affirme avoir payé ces propres cigares : des Davidoff et non pas des Montecristo comme le laisse croire la légende...
Le propos n'est pas centré sur les sept films de l'intéressé. Pas vraiment de fil rouge, un découpage par chapitre qui manque d'originalité... tout cela est bien décevant. Les propos rapportés ici donnent l'impression d'avoir été sélectionnés. le rôle du contributeur (Gareth Owen) n'est d'ailleurs pas explicité. Autre grand regret : comme tout ouvrage plus au moins officiel celui-ci se fait beaucoup trop élogieux
C'est donc aux adeptes de l'acteur que cet ouvrage s'adresse, bien plus qu'à ceux de la saga estampillée du célèbre matricule. Encore faut-il composer avec une personnalité d'une humilité relative et tout à son désir d'incarner un jour un méchant. Les adeptes de l'époque apprécieront...
Les adeptes vont être fortement déçus car il n'y a pas vraiment de nouveautés dévoilées ici alors que l'on aurait pu s'attendre à avoir un bel aperçu des légendaires plaisanteries réalisées par Roger Moore sur ces différents tournages. de fait, celles-ci font l'objet de quelques anecdotes trop rare. Un mythe est toutefois éventé : Moore affirme avoir payé ces propres cigares : des Davidoff et non pas des Montecristo comme le laisse croire la légende...
Le propos n'est pas centré sur les sept films de l'intéressé. Pas vraiment de fil rouge, un découpage par chapitre qui manque d'originalité... tout cela est bien décevant. Les propos rapportés ici donnent l'impression d'avoir été sélectionnés. le rôle du contributeur (Gareth Owen) n'est d'ailleurs pas explicité. Autre grand regret : comme tout ouvrage plus au moins officiel celui-ci se fait beaucoup trop élogieux
C'est donc aux adeptes de l'acteur que cet ouvrage s'adresse, bien plus qu'à ceux de la saga estampillée du célèbre matricule. Encore faut-il composer avec une personnalité d'une humilité relative et tout à son désir d'incarner un jour un méchant. Les adeptes de l'époque apprécieront...
