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Critique de patoche14
En déambulant dans une des librairies que j'ai l'habitude de fréquenter, je vois un livre de poche à l'épaisseur impressionnante, qui semble me lancer un défi : "Seras-tu capable d'aller jusqu'au bout de ce livre ?". Je lis la 4ème de couverture et le sujet me semble alléchant. Je ne l'achète pas tout de suite car je veux d'abord aller voir ce qui se dit sur cet ouvrage et son auteur que je ne connais pas. Et je vois la note dans Babelio. Cela finit de me convaincre de l'acheter. du moins, mon épouse me l'a offert à Noël.
Mais quelle n'est pas ma déception ! J'ai fini le 6ème chapitre ce matin (prélude inclus), et je ne vois toujours pas quel est le sujet. le plus pénible peut être, c'est que je passe mon temps à relire car j'ai toujours l'impression que j'ai raté des mots, ce qui n'est pas le cas. C'est l'écriture de l'auteur qui est ainsi faite. Je me demande combien de mois je vais mettre à lire ce bouquin car l'édition en ma possession fait 1 883 pages, et je n'arrive à en lire qu'une trentaine à la fois. Autre problème : il n'y a pas de pause dans l'écriture qui permettre de s'arrêter facilement. Il n'y a quasiment jamais d'espace entre les paragraphes et les les chapitres sont (très) longs, ce qui ne facilite pas non plus la lecture !
Quand je lis un livre au format poche, je lis entre 50 et 60 pages à l'heure (en fonction de la densité des pages), et j'arrive toujours à m'arrêter à un endroit qui me permettra de reprendre ma lecture facilement. Avec "Jérusalem", c'est tout simplement impossible.
Radadoune a fait une critique le 17/02/2018 dans laquelle elle exprime exactement les mêmes impressions que celles que je ressens, en plus de celles que je viens de décrire. Il vous suffira donc de lire cette critique et vous comprendrez pourquoi je suis si déçu par ce livre !
Mais quelle n'est pas ma déception ! J'ai fini le 6ème chapitre ce matin (prélude inclus), et je ne vois toujours pas quel est le sujet. le plus pénible peut être, c'est que je passe mon temps à relire car j'ai toujours l'impression que j'ai raté des mots, ce qui n'est pas le cas. C'est l'écriture de l'auteur qui est ainsi faite. Je me demande combien de mois je vais mettre à lire ce bouquin car l'édition en ma possession fait 1 883 pages, et je n'arrive à en lire qu'une trentaine à la fois. Autre problème : il n'y a pas de pause dans l'écriture qui permettre de s'arrêter facilement. Il n'y a quasiment jamais d'espace entre les paragraphes et les les chapitres sont (très) longs, ce qui ne facilite pas non plus la lecture !
Quand je lis un livre au format poche, je lis entre 50 et 60 pages à l'heure (en fonction de la densité des pages), et j'arrive toujours à m'arrêter à un endroit qui me permettra de reprendre ma lecture facilement. Avec "Jérusalem", c'est tout simplement impossible.
Radadoune a fait une critique le 17/02/2018 dans laquelle elle exprime exactement les mêmes impressions que celles que je ressens, en plus de celles que je viens de décrire. Il vous suffira donc de lire cette critique et vous comprendrez pourquoi je suis si déçu par ce livre !
