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Critique de Zora-la-Rousse
La petite ville de Manson semble avoir retrouvé calme et sérénité. Place au grand nettoyage après la fin de la tempête de neige et de l'invasion de rats…
Mais la vague de meurtres, elle, continue toujours. Ma petite psychopathe préférée de 11 ans, répondant au doux prénom de Zoé et dont le seul jouet se trouve être un couteau diabolique, veille à se protéger des attentions maléfiques du démon Malus en supprimant les corps qu'il utilise pour rester à proximité de nos héroïnes. Mais il apparaît qu'elle n'est pas la seule à résoudre ses soucis aussi radicalement…
Alors que Jet semble désirer avant tout retrouver sa vie d'avant, Rachel ne peut retrouver sa quiétude sans avoir au préalable résolu le mystère de son propre meurtre. Et c'est à l'aide de ses pouvoirs de sorcière qu'elle décide de s'y atteler.
Toujours aussi haletante et maîtrisée, cette série n'en finit pas de me plaire. Terry Moore réussit à faire progresser son intrigue avec toujours autant d'intensité et de brio. Il arrive à me faire sourire sur une mimique de Zoé et à me faire frissonner d'effroi deux pages plus loin devant la perversité de cette dernière… J'a-do-re.
Mais la vague de meurtres, elle, continue toujours. Ma petite psychopathe préférée de 11 ans, répondant au doux prénom de Zoé et dont le seul jouet se trouve être un couteau diabolique, veille à se protéger des attentions maléfiques du démon Malus en supprimant les corps qu'il utilise pour rester à proximité de nos héroïnes. Mais il apparaît qu'elle n'est pas la seule à résoudre ses soucis aussi radicalement…
Alors que Jet semble désirer avant tout retrouver sa vie d'avant, Rachel ne peut retrouver sa quiétude sans avoir au préalable résolu le mystère de son propre meurtre. Et c'est à l'aide de ses pouvoirs de sorcière qu'elle décide de s'y atteler.
Toujours aussi haletante et maîtrisée, cette série n'en finit pas de me plaire. Terry Moore réussit à faire progresser son intrigue avec toujours autant d'intensité et de brio. Il arrive à me faire sourire sur une mimique de Zoé et à me faire frissonner d'effroi deux pages plus loin devant la perversité de cette dernière… J'a-do-re.
