C'est avec talent que
Moravia nous dépeint la "psychologie" d'un adolescent qui se laisse aller au désespoir et à la mort...
Luca connaît la tension entre l'envie et le dégoût, dans laquelle la destruction l'emporte.
J'avoue que la fin m'a plutôt déçue... Après le renoncement total et la maladie, la guérison s'opère comme par enchantement, par la simple apparition d'une infirmière...
Heureusement, seules les dernières pages relatent un "sur-optimisme" assez peu crédible...
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