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Critique de pegase-shiatsu


La lecture de cette ouvrage à été faite suite à la dernière opération masse critique. Je dois saluer le professionnalisme de la maison d'Edition, quand à leurs efforts de comunication et présentation... Une carte émise par la maison d'édition avec un dessin de grande qualité pour me rappeler le motif de l'envoi : masse critique de la part de Janetr de oui-dire-editions et les références du site des conteuses ainsi que celui de la maison d'édition.
Si les trois contes sont compté avec un très grand talent, par contre, les deux conteuses ont oubliés que les contes d'autrefois étaient fait pour les adultes... et que pour les enfants il faut quand même édulcorer certains sujets... Même si les trois comptes finissent bien à l'aide de résurection, il est quand même question de canibalisme dans le premier conte, pire la mère (ou belle-mère, les conteuses habilement ne sont pas d'accord pour sans en avoir l'air intégrer deus versions possibles), il faut avoué que même pour un enfant de 12 ans c'est quand même un peu dur... même si la résurrection amortie le choc... Car oui si les contes sont fait pour faire des réparations, il ne faut pas allr trop loin quand même dans le sordide (Dans le conte Boule de Rêve de Lise Thoin la mort se transforme en un envol vers les étoiles... pour qu'un dauphin réalise sont rêve d'atteindre les étoiles!) et dans le petit Prince, si c'est un peu plus clair ( morsure de serpent) on parle d'aller rejoindre sa planète... Dans le deuxième conte, ce n'est pas le cannibalisme pourtant présent mais qui (vous m'excuserez de cacher le suspens, mais pour savoir si c'est entendable, car c'est un livre audio) se réévèle mystifié par un sauveur... ouf... Mais il y a quand même un problème car si la sexualité est imagé par des baisers, les enfants du conte sont quand même hors mariage... et donc attention au déconstruction morale sur lesquels les philosophes reviennent actuellement (voir une histoire de la philosophie pour les nuls, Luc Ferry) il faut faire attention à comment les enfants interprètent la chose... Si les enfants hors mariage doivent dédramatiser leur situation.... il ne faudrait quand même pas qu'ils interprètent autrement que le fait qu'ils ne soit pas responsables de la situation (et ne pas à 18 ans mourir dans un bus en Alaska par une erreur, en mangeant une plante empoisonnée dans l'histoire vraie Into the wild).
Donc si ces contes ont effectivement leur rôle de guérison, attention, ne les faites pas écouter avant 12 ans pour moi, et prenez le temps de discuter avec votre enfant.... pour éviter les problèmes... que cela ne se transforme pas en dégât qu'aurait pu provoquer un thriller... cela n'enlève rien pourtant à la qualité artistique de l'oeuvre des deux conteuses qui ont vraiment beaucoup de talent.
Le 3 e conte est très intéressant, car il met en garde contre la consommation de Chicorée... évidement ce n'est pas la Chicorée que vous mettez dans votre bol, qui est la Chicorée industrielle dont les effets indésirables ont été amoindrie par de savant croisement d'individus faiblement toxique, mais de la Chicorée romaine utilisé comme vomitif après les interminables banquet romain de l'antique, car prendre un vomitif, n'est jamais totalement anodin... sous forme d'un conte qui ressemble à notre conte Barbe Bleu, inspiré d'un personnage historique vendéen, il faut dire que les conteuses sont des spécialistes des contes de Bretagne et d'Italie, un peu embellie par quelques mots italiens), mais ce barbe bleu là est un dragon.... Alors oui beaucoup de talent.... mais faite cependant attention au choix du public, et à la façon dont il interprète les choses....
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